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Théocratie d'Iphénia


De ce monde vulgaire et violent, nous sommes les guides.


Née des ruines des royaumes humains d’Iphénia touchée et brisée par les affres de la corruption sous le feu des Calamités, la théocratie d’Iphénia est avant tout le fruit d’une utopie, celle de la paix entre les elfes et les hommes dans le but de travailler en commun avec les forces de chacun dans l’intérêt du monde. Etat religieux, Iphénia à l’inverse du royaume a ainsi fait le choix de faire primer la Foi sur tous les principes raciaux, ce qui n’empêche pas toutefois de nombreuses inégalités d’exister notamment sur les hauts postes religieux où seul un humain dans l’histoire a pu atteindre aujourd’hui le rang de Cardinal. Elle en reste toutefois bien plus modérée que ces voisines permettant à tous les humains compétents et alignés sur les principes du dogme de vivre des vies confortables notamment à Olios.

Nation religieuse, elle est un pilier de la culture continentale n’hésitant pas à valoriser les arts saints chez elle comme dans les pays sur lesquelles sa foi lui donne de l’influence. Nation maritime et productive, elle est également un nœud commercial majeur, guidé en cela par la ville d’Olios, un des plus grands ports du continent.

Mais derrière la lumière et la bonté se cache toujours de l’ombre et du secret. Dans le dos de tous règne comme un état dans l’état l’inquisition exterminant sans procès ni hésitation tout ce qui ne corresponds pas à leur vision de l’équilibre. Corrompue… Vampires… Lycan… Nécromancien… Démonologue, ces derniers passant bien souvent les frontières car la Foi plus qu’une affaire de nation est celle du monde...

Derrière les sourires, elles aussi une nation de secret où se cache tant sur les affaires de la corruption que des affaires d’Etat, bien des choses que la théocratie voudrait effacer.. quitte à le faire physiquement vis-à-vis de ceux qui savent.

DDerrière la morale, se cache bien des organisations criminelles et des sectes qui puissantes sont loin d’être combattu avec verves par les autorités.

Dans le possible, le croyant détient l'éternel et sûr antidote du désespoir ; car Dieu peut tout à tout instant. C'est là la santé de la foi, qui résout les contradictions.


L’Eglise de la volonté originelle est une foi monothéiste d’origine elfique qui s’est par la suite à travers Iphenia diffusé au sein des populations humaine. Initialement ce n’était pas une religion en tant que telle, mais une philosophie de la vie et du monde qui s’est personnifié à travers une divinité métaphysique pour se faire comprendre des individus peu éduqués. Le concept est assez simple, mais il peut prendre un peu de temps à comprendre. Dans une perception déiste, le monde en lui-même doit avoir une cause première.

Le monde est soumis à la gravité -> La gravité est déterminée par la Physique -> La physique par les maths -> Qu’est ce qui détermine tout cela ? Un « Dieu ».

Le monde a un sens, des lois déterminées par une force transcendante qu’un être matériel ne peut définir. Pour cette religion, cette force est une Volonté qui ordonne le monde et donne un sens à l’histoire qu’importe sa nature, et elle doit être vénérer comme le dieu unique. Le but de cette volonté est de prospérer le plus longtemps possibles, mais comme les bactéries, les êtres vivants qui la composent peuvent avoir des effets positifs comme négatifs. Le but de l’Eglise est donc de faire en sorte de préserver l’âme du monde des méfaits qu'importe la motivation des êtres vivants, ce qui en fait un culte de l’équilibre qui peut tout autant s’en prendre aux "extrémistes" négatifs que positifs. Tous les moyens sont bons pour préserver ce monde fragile, des paroles aux génocides en passant par les assassinats. La morale en elle-même serait donc fondée sur la modération et l’équilibre entre vertu et péché. Il ne faut pas être dans l’excès d’un coté ou de l’autre. Car les deux sont dangereux.

Mais vouloir l’équilibre une chose, la définir et définir ce qui le menace en est une autre. Cette difficulté d’interprétation donne lieu à une multitude de courants assez hétérogènes, toutefois 4 prédominent.

- Courant Impérialiste : selon lui le déséquilibre vient de la guerre et de la division du monde. L’Equilibre viendra d’une paix universelle dans un monde unifié sous un gouvernement sage. C’est le grand courant des croyants qui soutienne la politique belliqueuse de Luhorn.

- Courant Modéré : Pour lui le déséquilibre vient des excès dans le bien et le mal. L’Equilibre viendra lorsqu’hommes et elfes sauront se modérer, dans leurs vices comme dans leurs excès de zèle « bienveillant ». C’est un courant particulièrement pacifiste soutenu par les opposants aux guerres de Luhorn et les elfes de la théocratie.

- Courant Purgateur : Le déséquilibre vient de ceux qui font des choses contre-natures. Glorification de l’occulte, races impies, comportements dangereux de mages noirs et soutien, liens avec des races extraplannaires comme les démons… L’anormal et le contrenature doit être exterminé. C’est le courant des inquisiteurs, des exorcistes et des humains Iphéniens.

- Courant Druidique : Le Déséquilibre vient de la civilisation, du fait que nous avons renié la nature. La société actuelle est trop excessive, il faut revenir aux sources. C’est le courant des ermites, de certains moines et des ecoterroristes.

Les villes

Sainte Cité d’Aegys


Démographie : 500 000 habitants, 70% d'elfes, 30% d'humains
Langue parlée : elfique, commun
Particularité : ville construite sur une ile-montagne crée par la magie. Fontaine gigantesque, de l’eau s’écoule de son sommet pour tomber dans la mer via les multiples canaux de la cité.
Religions pratiquées : Église de la Volonté Originelle
Biome :urbain côtier
Aegys est née de la main des survivants fuyant la ville de Lotharn, ancienne capitale du royaume elfique contrôlant jadis l’île, le pays comme la cité ayant été effacé de l’histoire sous le courroux du Dragon Belserion. Construite à partir de rien dans l’eau, à l’abri de la corruption par les magies elfiques, la capitale de la théocratie est désormais l’un des centres de la culture et du savoir du continent. Connue pour son architecture unique, ses bibliothèques, ses écoles et ses Eglises, elle est au-delà d’être une cité de culture, un territoire de production de bien luxueuse que ce soit la soie, l’encre, le papier ou encore les étoffes.
Le Palais Blanc
Situé au centre de la capitale Iphénienne et au sommet du mont artificiel sur laquelle, elle se trouve, le Palais Blanc est le siège de la Foi et le centre du pouvoir politique de l’île. Demeure du Souverain Irradiant, construite dans un style mêlant à la fois les savoirs faire elfiques et humains dans l’objectif de montrer l’unicité possible être les deux peuples, c’est un lieu particulièrement central pour toute personne croyant en l’équilibre et en l’Eglise.

S’il s’agit de mission d’ampleur, la taille des infrastructures du palais lui permet également d’assurer l’accueil des cardinaux et des évêques en déplacement à Aegys, mais aussi le siège du Tribunal Suprême et des Conciles.

Enfin, si le palais est d’ordinaire fermé à la plupart de la populace, il ouvre ses portes à qui le désire une fois par semaine afin d’assister à la messe donné par le souverain en personne.
L’Académie de Saint Euclyde
L’Académie de Saint Euclyde est la principale école de la théocratie. Si elle offre des enseignements qui restent de qualité en magie arcanique et occulte, elle est toutefois loin d’être au niveau de ses comparses continentales sur ce plan. Il n’est donc pas rare notamment sur le plan arcanique, qu’elle ne soit qu’un tremplin de préparation pour accéder à l’académie lornoise au vu des accords qui existent entre Iphénia et Luhorn sur le transfert des étudiants.
Toutefois, si elle ne rivalise pas sur le plan des études arcaniques et occultes, l’Académie à ses propres spécialités.
Premièrement bien évidemment pour l’apprentissage des magies de ferveur Iphénienne, notamment en magie salvatrice, où l’institution reste le haut lieu d’apprentissage des magies curatives dont elle s’est fait une spécialité.
Deuxièmement contrairement à d’autres écoles, la magie n’est pas mise sur un piédestal mais au même niveau que tout les autres savoirs. L’école formant également des prêtres et des croyants, une part très belle de la formation est offert à l’étude de la théologie, de la philosophie, du Droit et de la rhétorique, obligatoire qu’importe le cursus.
Dorotès IV / Le Souverain Irradiant
Elfe de naissance aristocratique, Dorotès IV est l’actuel dirigeant de l’Église de la Volonté Originelle ainsi que de la Théocratie d’Iphenia depuis plus de 150 ans. Fin politicien, il a su se rentre populaire auprès de la population à travers des politiques réformatrices de modernisation des institutions politiques et religieuses qui ne sont pas sans faire grincer des dents les prêtres et les fidèles les plus conservateur. Son règne avait pourtant débuté difficilement avec la mort violente en période de crise de ses prédécesseurs lors du XIIe raid venant des terres corrompues lancé par une calamité mais aussi la révolte du pain des populations humaines qui l’ont obligé à accorder plus d’autonomie à certains territoires. Néanmoins malgré ses idées progressistes, le souverain mène une intense répression contre son opposition politique depuis 27 ans suite à un attentat raté dans lequel il a perdu son visage.

Mal’end’il Darongir
Eveque de l’Eglise, l’elfe faisait partie des plus proches alliés du Souverain Radiant. Initialement dédié à devenir cardinal pouvant un jour succéder au souverain irradiant, le XIIe raid le conduit à changer ses ambitions lorsque Dolorès lui proposa de prendre la tête d’un nouveau corps militaire religieux chargé spécifiquement de la régulation des monstres, celui des Exorcistes remplaçant ainsi toutes les anciennes institutions. Grand spécialiste de la corruption, il exécute sa mission avec verve. Sur le plan personnel, il voit d’un très mauvais œil l’émergence des humains de plus en plus nombreux dans la théocratie.
Alvehel Balatir
Eveque de l’Eglise, elle a rapidement choisit la voie des ténèbres et du sang pour servir les intérêts du monde et de la Foi. Bien qu’elle ne soit pas une fanatique au sens propre du terme, tuer pour la raison d’Etat ne la dérange pas. D’abord inquisitrice, elle a lentement monté les échelons pour en devenir le Grand Maître. L’Inquisition jouant tout à la fois les rôles de service secret et police politique chargé d’éliminer partout dans le monde ceux qui représenterait une menace pour l’Eglise et le Monde. Elle est officiellement également Grand Maître de l’Ordre des Missionnaires.
Cardinal Azrèv
Premier Cardinal de l’histoire à être d’origine humaine, Azrèv incarne l’espoir des hommes de permettre la réalisation de l’égalité raciale réel sur le territoire théocratique. Né dans l’aristocratie humaine à la suite d’une étrange fausse couche, dès sa naissance il fut un homme de grand talent destiné à faire de grande chose. Paradoxalement à son statut d’humain, il prône le retour aux sources d’une Eglise devenue trop laxiste à son gout. Premier opposant de Dolorès, favori à sa succession soutenu par les humains, il est victimes régulièrement de tentative d’assassinat qui semble l’amuser, comme si rien ne pouvait l’atteindre… Par ailleurs la volonté que met l’inquisition à vouloir l’abattre sans cacher une motivation plus forte que la simple politique...

Ville libre d'Olios


Démographie : 2 millions d’habitants, 55% d'elfes, 45% d'humains
Langue parlée : elfique, commun
Particularité : mégalopole densément peuplé, centre commercial majeur du continent, Olios est une cité de bien des excès rongé par la criminalité et la maladie. Elle garde néanmoins un style architectural caractéristique d’Iphenia qui tend à s’effacer au fil des années au profit de la culture humaine.
Religions pratiquées : Église de la Volonté Originelle
Biome :urbain côtier
Riche cité portuaire, Olios est une plaque tournante servant avec la guerre d’intermédiaire entre les flux commerciaux des empires humains et elfiques. Depuis la révolte du pain il y a 150 ans, la cité jouis d’une charte qui lui offre une grande autonomie. Si Aegys est une monarchie absolue, Olios est une monarchie constitutionnelle où le souverain radiant joue le rôle de chef d’Etat symbolique, gardant toutefois le contrôle du pouvoir judiciaire. Le pouvoir législatif étant délégué au Conseil des pontes, nobles de la cité, élisant un Sérénissime Doge nommé ensuite par le Souverain qui peut y apposer un véto. Si la cité est riche, elle est pourtant le théâtre de tension démographique et politique, sur fond de la menace croissante de la corruption, de l’émergence des réseaux criminels et de la peur des populations elfiques d’être grand remplacé par l’explosion démographique des humains.
Hospital de Sainte Dahlia
L’un des plus grands centre de soin du monde si ce n’est le plus grand, l’hospital de Sainte Dahlia est tenue par un ordre religieux du nom d’Ordre des Salvateurs dont la mission est la charité et le soin à ceux qui en ont besoin.
Cet hôpital est un bijou architectural liant à la fois les savoirs humains et elfes en matière de connaissance et de logistique médicale. Recevant nombre de dons, des élites Iphéniennes comme de l’Eglise pour son travail, ses moyens sont particulièrement conséquents et nombre des meilleurs utilisateurs de la magie salvatrice y sont passés un jour pour parfaire leurs connaissances tout en servant la Foi et les gens dans le besoin, pauvre ou riche.
Capable d’accueillir des milliers de personnes, l’hospital est également gratuit grâce aux dons. Une richesse couplée à des dérogations qui donne à l’hospital une autonomie certaine par rapport à Iphénia et Olios qui n’est pas sans de temps à autre créer quelques tensions. Les Salvateurs désirant soigner tout le monde, cela concerne également les corrompus, ce qui n’est pas du gout du pouvoir religieux et de l’inquisition.
L’Outremonde
Dans les bas fonds d’Olios se trouvent des zones souterraines creusées par la magie afin d’échapper à la surveillance des gardes. Bien souvent contrôlée par des organisations douteuses et criminelles, l’une d’elle est la propriété commune des Cinq familles. On y trouve là tout ce qui est nécessaire pour faire des paris illégaux, interdit par la théocratie notamment par le biais d’arènes où se battent hommes, elfes, monstres et corruptions.
Autant dire qu’à travers ce genre de jeu, où la triche est autorisée, beaucoup d’argent circule, il ne serait pas bon de gagner contre la volonté d’un ponte du crime non ?
Bahert Kelhelyr
L’un des plus grands aristocrates de la théocratie, il est également Nonce apostolique chargé par le pays des relations diplomatiques avec l’Empire Elfique. Fin commerçant, il est également un politicien aguerri préférant restant dans l’ombre de pantins plutôt que de s’éroder au soleil. Il finance secrètement les mouvements politiques elfiques régulationnistes qui vise à restreindre sérieusement l’immigration des humains dans la cité et à apposer un contrôle des naissances pour bloquer leur croissance démographique au niveau des elfes.

Miranda Zafahel
Sérénissime Doge d’Olios, Miranda a été élu par défaut par de multiples forces pour éviter la nomination d’un humain à la tête de la cité. Dirigeante depuis 1 ans, elle a toujours peiné à consolider ses positions et son autorité, lui étant reproché son incapacité à gérer le développement du marché noir de la corruption et les problèmes de surpopulation de la ville entrainant maladie et insalubrité dans les bras quartier. Alors qu’il ne lui reste qu’un an de mandat, il sera sans doute difficile pour elle d’être réélu.
Edouard Kambac
L’homme qui est passé si prêt du titre de Doge il y a 9 ans, bloqué par une alliance racialiste entre elfe. En échange de sa « défaite », il a reçu pour le contenter le titre de nonce apostolique en charge des relations diplomatiques avec l’empire des elfes. Néanmoins Edouard rumine, un jour il parviendra à prendre le rôle qui lui ai du.

Phonem


Démographie : 50 000 habitants
Langue parlée : elfique, commun
Particularité : ville-prison
Religions pratiquées : Église de la Volonté Originelle
Biome :plaines et collines
La plus sainte des villes, la première étape vers le paradis sur terre... Il existe beaucoup de surnom et de sobriquet chez les Iphéniens pour qualifier cette ville assez mystique du fait que personne n'ose vraiment y mettre les pieds volontaires. Car si ville est son nom, prison et camp de rééducation sont sa réalité. La cité ayant sa charge la "purification" des éléments qui se sont montrés divergents vis à vis de la religion d'Etat. S'il est assez facile d'y entrer, il reste terriblement difficile d'en sortir, de puissants sortilèges en interdisant la possibilité secondé par une garde fanatique ayant le droit de tuer tout impudent qui essayerait. Le seul moyen de pouvoir quitter les lieux étant de parvenir à obtenir la bénédiction des rédempteurs maîtres des lieux en terminant les épreuves de la tour des tentations. Lorsque les gens parviennent à sortir, ils sont changés, pourtant nulle trace de magie dans leur esprit... Et eux même sont incapables d'en parler, tant l'esprit désire expurger ses souvenirs...

L'autre particularité de la ville est l'obligation dès l'entrée de porter un masque qui immédiatement s'adhère à la peau et devient quasiment impossible à retirer sans s'arracher le visage. Ce masque interdit par magie de donner la moindre information sur son identité originelle et falsifie les émanations magiques et l'apparence de son porteur. Pour avancer vers la rédemption, il faut abandonner jusqu'à son identité après tout. La vie à l'intérieur de la ville est particulière, paradoxalement malgré la taille de la population, elle n'est pas très bruyante, elle est même très silencieuse, personne ne parlant ou ne courant dans les rues, cela étant interdit par les rédempteurs. En matière de niveau de vie, le tout reste assez simple : monastique. La population se divise elle même en deux groupes assez fluctuant, les premiers étant ceux ayant décidés de continuer les épreuves de la tentation pour sortir de cet endroit, tandis que les seconds pour différentes raisons, et qui sont les plus nombreux y ont renoncés, organisant alors une vie et une société pour vivre avec ses classes basses et ses propres élites qui contrôlent notamment l'approvisionnement en nourriture et en vêtement. Cette vie est également par la présence d'un système de crédit social qui peut être augmenté ou diminué par les rédempteurs en fonction de certaines actions. Si une personne tombe à 0, elle est immédiatement condamné à mort car jugé irrécupérable. Ce système s'applique également aux enfants qui naissent dans la cité à l'exception de ceux que leurs parents offrent à la naissance aux rédempteurs pour ne plus jamais les revoir (cela faisant souvent gagner des points).
Sainte Euridice
Comme la plupart des rédempteurs peu de choses sont connus à son sujet, comme les siens, il s'agit avant tout d'une personne très discrète et très secrète qui se montre peu. Elle n'en reste pas moins très puissantes, au point de diriger la cité et d'être la seule personne en dehors du souverain irradiant à pouvoir prétendre au titre de Saint. Pourquoi ? Ce qu'elle en fait ? Ce qu'elle veut ? Un grand mystère par contre...
Hérault de la Lumière
Comme la plupart des rédempteurs si ce n'est leur dirigeante, on ne connait à la fois ni son visage ni son véritable nom, pour peu qu'elle en est un. Elle est la gestionnaire de la cité, ayant à sa charge toutes les personnes vivantes dans les différentes habitations. C'est une personne particulièrement froide ne s'exprimant que des phrases lacunaires ou des mots simples. Cette froideur étant bien la seule chose que l'on peut percevoir derrière son masque, laissant passer un regard presque inhumain.
Hérault des Ténèbres
Si la sainte gère les rédempteurs, Si le Hérault de la Lumière gère la ville, La charge du Hérault des Ténèbres est d'être celui brisant le mal de la plus terrible des manières. Il est le gestionnaire de la tour de la tentation. Celui qui organise les épreuves et les passages. Il reste bien plus bavard que ses homologues, acceptant de tenir des conversations avec ceux de passage bien souvent philosophique et morale.