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Saint Empire d'Arkheynos

La gloire se mesure en sang versé. Le nôtre ou celui de nos adversaires.



Les annexes d'Arkheynos

Les hommes ont régné. Un empire vieux d’un millénaire plus grand, plus puissant, plus illustre qu’aucun autre avant eux. Ils ont eu un goût de la suprématie. Et ils la désirent la récupérer plus que jamais. Ce petit groupe tribal, clanique, qui a grossi, pareil à une tumeur, pour devenir l’immense Saint Empire d’Arkheynos qui règne au Nord du Continent. Si des aspects mineurs de sa philosophie ont changé à travers les âges, une chose demeure : Il faut régner. Il faut vaincre. Et si on doit mourir : Il faut le faire de façon glorieuse. Et leur manque d’éthique, de considération pour la vie de leurs congénères, et la loyauté aveugle, presque fanatique en l’Empereur et en la nation, leur a permis de persister dans le temps. De continuer à vaincre une guerre, après l’autre. Le pouvoir appartient à ceux capables de tout sacrifier pour l’obtenir.

Si les méthodes sont connues, elles ne sont pas ou que très rarement contestées par la population. La société est endoctrinée selon la volonté de l’Empereur, mais elle est aussi nourrie, divertie, et protégée, et le peuple arkheynossien accepte sans difficulté l’idée que certains sacrifices sont nécessaires. Ce peuple qui a longtemps délaissé les arts de la magie dans le but de devenir maître dans la maîtrise de l’épée, de l’arc et du bouclier, a subi ces dernières décennies ses lacunes flagrantes. Dans le Grand Empire d’Arkheynos, il n’existe aucune autorité plus crainte et respectée que celle de l’Empereur. Homme au visage connu par seulement quatre individus, reste une énigme en tout point. Brillant tacticien, combattant, expert dans une grande partie des armes qui ont jamais existé, cet humain à la longévité impensable a réuni son royaume dans un but commun. Sous sa bannière d’or et d’ébène, les Humains ont perduré, avant de dominer. L’Empereur de l’Humanité n’est pas qu’un bureaucrate, ce qui le démarque et ce qui fait son aura, c’est qu’il n’était pas rare de le voir sur le champs de bataille, menant ses hommes vers une mort certaine avant de triompher. Ne comptant pas les pertes, ne comptant pas les sacrifices, l’Empereur combattait aux côtés de moins que rien comme aux côtés de grands généraux, et il n’en ressort qu’une chose à chaque fois : Sous cette grande armure d’Or, il y avait un homme qui ne craignait pas la mort. Ou un Dieu qui savait qu’il ne pouvait mourir. C’était le cas du moins jusqu’il y a cinq ans, où l’Empereur a subi une lourde défaite contre le Maréchal. Depuis, il n’a plus été vu sur le champ de bataille, on ignore s’il est en vie ou non, mais sa parole continue d’être prêché par un porte-parole officiel.





Les Hommes sont des avatars de l’avarice, de l’orgueil et de la démesure, s’il existe une terre, ils la voudront, s’il existe une ressource, ils la voleront. Ils se fichent du comment, ils se fichent du pourquoi. S’ils peuvent, ils le font. Si une large majorité de la population est croyante, il n’est pas rare de voir des rares hommes sans foi, enorgueillis par la conviction que l’Empereur les juge, et veut les voir triompher. Le maniement des armes, la ruse, l’exploit militaire, la force individuelle, l’opportunisme et la vision, voilà les valeurs qui permettent à Arkheynos de tenir dans son extrémisme. Toute race est la bienvenue, toute croyance est acceptable aux yeux de l’Empereur à condition que la force soit présente. L’Empereur est épaulé du Conseil, trois arkheynossiens fidèles à l’Empereur et à la nation avant tout, représentant la Force, la Volonté, et le Sacrifice de l’Empire. Et si ces trois hommes sont respectivement, l'Épée, l’Arc, et le Bouclier de l’Empire, ils ne sont pas les seuls noms importants d’Arkheynos. Des familles nobles, de grands scientifiques, et des alliés de confiance, permettent à l’Empereur de contrôler son vaste Empire.

S’il existe quelques dissidents deci et là, rares sont ceux qui ouvertement remettent en cause la Guerre menée contre les Elfes par peur de se faire exécuter pour trahison envers la nation. Si la Magie avait été la faiblesse des hommes qui n’avaient pas cultivé jusque-là, l’apparition d’arme plus avancée, de la Magie nécromantique à la Forêt de la Sœur, ainsi que la démocratisation de la Magie de Ferveur des Prêtres de l’Empereur-Dieu, un équilibre se créait entre les forces. Si la Religion de l’Empereur-Dieu est officiellement la religion d'État, il est courant de voir des personnes athées, bien qu’elle reste le plus souvent discrète par peur de voir une inquisitrice sonner à la porte.

Mages, nécromants, bretteurs, scientifiques, prêtres, fusiliers ou même pilotes de Zeppelin, l’Empire ne recule devant aucune arme, et ne remet jamais en question la provenance d’une puissance. Le seul acte résultant dans une exécution sans jugement est la trahison, ou le soupçon de trahison


Arkheynos



Démographie: 10 millions d’habitants

Langue parlée: Le commun (langue nationale), l’elfique, le nain

Particularité: Capitale du Saint Empire.

Religions pratiquées: Culte de l’Empereur-Dieu, à 85% de croyants pour 15% d’athée.

Biome: Mégalopole

Courte description: La capitale d’Arkheynos est ce que cet Empire est en son âme profonde. Une mégalopole, grouillante de bruit, de pollution, puant le soufre, le travail en usine, et les magouilles. Si la loi du plus fort existe entre les rues de la capitale, et qu’un immense marché noir opère, ce n’est pas pour autant une anarchie. Une force armée, une milice bien trop équipée, et sans pitié fait régner le respect de l’Ordre. Le marché noir doit faire preuve d’une vigilance, d’une organisation sans défaut, et même comme ça, on soupçonne qu’il ne perdure que lorsqu’il arrange les plans des plus puissants de la ville.



PNJ:

L’Empereur / Chef de Faction

« Je ne suis pas un Dieu. Les Dieux ne font trembler que les croyants. »


Son nom est inconnu, son visage est un mystère pour l’écrasante majorité de son peuple, il n’est connu qu’à travers des fresques, des livres d’histoire, des chansons de bardes, et par les militaires. Connu pour avoir organisé le Massacre Vertueux il y a quatre cent ans, il est clair pour ses conseillers, qu’il ne croît que très peu en ce mélange des races, mais il use de cette force à son compte. Sachant pertinemment que l’Empire des hommes est condamné sans cette alliance, il préfère bafouer ses croyances plutôt que de voir son peuple se faire massacrer par des oreilles pointues. Il est connu pour ses stratégies reposant sur l'inconscient et le courage de ses hommes, et sur le peu de valeur qu’il attache aux vies humaines.

Cryptique, il n’y a que peu d’informations à son sujet en libre circulation, et sa défaite contre le Maréchal n'a aidé en rien. Sa parole se contente d’être relue, et l’Empereur n’a plus été vu en public depuis.



Pierrot « Le Fou » / Epée de l’Empire

« Je l’entends. La symphonie. »


Pierrot est le fils adoptif de l’Empereur. Élevé pour devenir plus grand, plus fort que son père, il est devenu, l’épéiste le plus compétent de tout le Continent. Sur le champ de bataille, son style unique ressemble à une danse macabre, au rythme des cris, des morts, des tripes déchirées, Pierrot avance en faisant s’échouer les corps. Son armure de mithril, spécialement conçue pour lui permettre de résister aux assauts magiques, font de lui la force de frappe la plus importante de l’Empire. Sa loyauté pour son père lui sert de canaliseur, une chose est sûre c' est qu’il a hérité de son sobriquet après que son père ait été blessé. Lorsque Pierrot l’a appris, il est entré dans une telle rage que le champ de bataille est devenu inopérable pendant plusieurs heures.



Malenia « Cherche-Cœur » Leviathan / Arc de l’Empire

« Ce qui est inconnu et invisible provoque toujours le plus grand effroi. »


Malenia est une elfe énigmatique à la tête de la Confrérie de la Rose, un groupuscule d’assassins, de voleurs, et de pirates. Spécialiste dans l’Archerie et les empoisonnements, elle se dirigea tout naturellement vers les assassinats formant son propre culte. Si les intentions de ce dernier sont encore floues, une chose est certaine, Malenia voit d’un très mauvais œil la trahison envers la nation, et se dévoue entièrement à celle-ci. Toutefois sa loyauté semble se diriger plus vers l’Empire plutôt que l’Empereur. Pour lui, elle a accompli une mission de plusieurs années sur le territoire Elfique, donnant même naissance à des petits marmots exécrables.



« Le Chien d'Arkheynos »

« Ôte-toi de mon soleil, Empereur. »


Homme mystérieux, très souvent nu, éméché, et problématique, personne sait vraiment d'où vent celui qui se présente comme le Chien. Humain, élancé, polémiste, le Chien est une attraction connue de tous dans la capitale, et même dans l'Empire. Philosophe de son titre, le Chien se balade de quartiers en quartiers, de bordels en bordels, questionnant les mœurs. Opiniâtre et grand praticien de la maïeutique, ce clochard bourré est une véritable plaie dans le fonctionnement de la cité. Toutefois, iconique, et grand nationaliste, le pouvoir le laisse parler. S'il semble épargné de bien des châtiments pour ses convictions, personne ne comprend ce qui lui vaut un tel égard de la part de l'Empereur. Plusieurs anecdotes témoignent de son mépris des richesses et des conventions sociales. Pacifiste, La masse d'anecdotes légendaires sur le Chien montre que le personnage a profondément marqué les Arkheynossiens. Il vit dehors, dans le dénuement, vêtu d'un simple manteau, muni d'un bâton, d'une besace et d'une écuelle.Vu tantôt comme un philosophe débauché, hédoniste et irréligieux, tantôt comme un ascète sévère, volontaire, voire héroïque, il est un amalgame de légende et de bouche à oreille.





Mortuary / Forêt de la Sœur



Démographie: 1 million d'habitants

Langue parlée: Elfique, Commun, L’oublié (proto-langage des hommes)

Particularité: Haut-lieu de la nécromancie et de toutes les pratiques occultes dans l’Empire des hommes.

Religions pratiquées: Athée 60%, Religion de l’Empereur-Dieu 40%

Biome: Forêt humide

Courte description:Mortuary, ou la ville des nécromants, et la forêt de la sœur qui l’isole du reste de l’Empire, sont des lieux hautement chargés en énergie occulte. Ici, démonologue, mage noir, nécromants, fossoyeurs, et autres joyeuseries macabres ont développé une relation de cohabitation, et une certaine forme de stabilité sous le regard pesant de Dame Nuit qui protège ces lieux. Cette mage noir comme il n’en a pas existé depuis des siècles, semble avoir un pouvoir démesuré sur ces lieux. Véritable merveille d’architecture, où tout est prévu pour gagner un maximum de place. Poste le plus proche du front, les corps de métiers divers et variés affluent dans cette véritable petite ville fortifiée.



PNJ:

Dame Nuit « La Matrone » / Dirigeante de la Forêt de la Sœur

« La réalité est une opinion avec laquelle je suis en désaccord. »


Dame Nuit a toujours été sur ces terres. Les hommes sont arrivés dans les bois de Dame Nuit, et elle était présente. Maintenant, elle y demeure. Beaucoup sont convaincus qu’elle détient entre ses doigts les clés de l’univers et qu’elle le fermera, en partant, lorsqu’elle sera la dernière vivante. Dirigeante de la Forêt de la Sœur, elle y a une emprise totale bien à deux conditions, respecter l’autorité arkhenyossienne, ainsi que de produire des occultistes en tout genre, manipulateurs de sang, conjurateurs, et évidemment nécromanciens. Plus puissante adepte des arts obscurs, elle a formé de grands généraux qui siègent au côté de l’Empereur, et si elle parvient à garder son indépendance, elle choisit de maintenir cette alliance en cas d’attaque d’Iphenia ou de la Corruption.

Si Nuit se rappelle encore vivement des Massacres d’il y a quatre cent ans, elle préfère se concentrer sur le conflit actuel, et aider les gens qui risquent leur vie. Sans se mettre activement en danger, elle agit comme une force neutre, imprenable. Sa puissance dans les arts sombres est difficilement mesurables, mais ce qui terrifie le plus chez elle, ce sont ses connaissances. Un respect mutuel existe entre elle et l’Empereur, mais leur relation ne s’arrête pas là, et nombre sont ceux qui soupçonnent que la longévité surprenante de l’Homme vienne de la Matrone.



Aazel « L’Enfermé » / Terreur nocturne

« Aucune chaîne ne peut me retenir. Aucun piège dont je ne peux m’évader. Aucune porte que je ne peux ouvrir. Et j’arrive. Beaux rêves. »


Aazel n’est pas à proprement parler une bête, mais de l’homme, il n’en a que l’apparence. Froid, cruel, violent, celui qui a perdu sa sanité à l’Institution de Porte-Cendre a trouvé refuge dans ces bois aussi hantés que son esprit malade. Criminel activement recherché, il représente une menace constante pour les habitants.






Le Triomphe de l’Empereur



Démographie: Six cent mille soldats

Langue parlée: Commun

Particularité: Avant-Poste le plus proche du front.

Religions pratiquées: 70% Religion Empereur-Dieu

Biome: Forteresse

Courte description:Forteresse gargantuesque, véritable monstre qui a vu tant de jeunes soldats périr dans des conditions tragiques, cette bête de pierre et de métal se fiche du nombre de vie perdue, elle ne s’intéresse qu’à la victoire, qu’au triomphe de l’Empereur.



PNJ:

Wolf « La Créature » Reis / Bouclier de l’Empire

« Le sang des martyrs est le breuvage de l’Empire. »


Originaire des Terres du nord, la famille Reis est l’une des plus vieilles familles de l’Empire. Déjà présents aux côtés du premier empereur, les descendants ont continué de prêter allégeance au glorieuse Empire. Wolf n’est pas une exception, sa fidélité et son dévouement à l’Effort de guerre, ainsi qu’à la prospérité d’Arkheynos est une force sans atout sans pareil pour l’Empereur. Équipé d’une masse titanesque, ainsi que d’une des premières armures technomages viables, le Reis terrifie le champ de bataille de sa droiture et de sa tactique. Capable d’envoyer à la mort une centaine de vie, voire un millier de vie, dans le seul intérêt de tuer une cible importante, Reis est prêt à tout pour faire avancer les lignes ennemis. D’un naturel bon pourtant, il est raconté qu’il récite le nom de chaque camarade qu’il a perdu dans l’espoir d’obtenir leur compréhension. Il est l’un des rares à connaître l’apparence de l’empereur.Commandant de la première légion.



Alice « L’Impératrice désignée »

« A la gloire de mon père, pour le château de ma mère. »


Alice est une ogresse ayant passé plus de temps sur les champs de bataille que dans son lit. Cette jeune ogresse a été recueillie et entraînée par l’Empereur lui-même, la désignant comme sa légitime représentante sur le front. Si sa nature impulsive à tendance à lui jouer des tours et à miner son autorité auprès des troupes elle peut compter sur Wolf pour la soutenir dans ses manœuvres. Bien plus à l’aise dans les combats nocturnes, elle semble déclencher une nouvelle nature à la nuit tombée, et ses assauts sont toujours aussi létaux. Impatiente et désespérée à la vue de l’état de la guerre, elle cherche à tout prix un moyen de faire tomber l’Empereur et sa petite chienne de Jinda.
Commandante de la deuxième légion.



Tremor « La Mascarade » Daref

« Pour les fils de la nuit, pour les fils de l’Empereur. »


Tremor est le plus mystérieux des généraux de l’avant-poste. Si ses troupes sont constituées exclusivement de personnes corrompues par la magie, des vampires, des loups-garous et tout genre de bizarrerie, il est impensable de penser qu’il fait ça par bonté de cœur. Il mène des monstres vers les lignes elfiques sans vraiment savoir comment il a pu fédérer tant d’individus instables et au instinct contraire. Pourtant il y parvient. Et le plus souvent cela résulte en un massacre dans les lignes adverses. Le plus souvent, car la légion de Tremor est connue pour son instabilité et sa capacité à massacrer ses propres troupes.
Commandant de la troisième légion.



Frida « La Sainte Macabre » Adia

« Et leurs cœurs seront purifiés par la lame. »


Frida est la représentante des Promises de l’Empereur sur le champ de bataille. Commandante d’une dizaine de prêtresses combattantes, maniant les puissances de la ferveur, Frida s’est imposée comme la vision morale de l’Empire. Et l’Empire n’est pas très moral. Sa faux et ses capacités en magie curative font d’elle, une sainte macabre aux yeux des soldats qui l’ont affectueusement renommé ainsi.
Elle est la commandante de la quatrième légion.



Sarah « La Ratée »

« J’ai lancé un sort ! »


Il n’y a pas grand-chose à dire sur Sarah tant ses accomplissements sont misérables en comparaison aux autres commandants. Commandante de la cinquième légion, celle des mages de batailles, elle échoue le plus souvent tant la différence est écrasante entre les mages des Hommes et ceux des elfes.





Chimera Salem



Démographie: 2 Million d’habitants, 50 % Nain, le reste dispersé.

Langue parlée: Nain langue majoritaire, et le commun.

Particularité: Ville de forge, inhospitalière, utilisée uniquement par des maîtres forgerons, la grande, grande majorité des personnes présentes ici le sont pour forger, construire, des armes ou des armures pour l’effort de guerre.

Religions pratiquées: Majoritairement athée.

Biome: Montagneuse.

Courte description: Chimera Salem est l’une des plus anciennes villes du Saint Empire. Dirigée par la famille des Barbefeu, leur savoir en termes de forge est incomparable dans le continent principal. Si les armes tendent à devenir désuètes en elles-même, elles forment une base solide pour des améliorations technomagiques. Les nains qui dirigent cette ville ont coupé tous les liens avec la race au Nord. S’ils ont une position non négligeable au sein de l’empire et que leur opinion est hautement considérée par l’Empereur des Hommes, les nains ne sont pas particulièrement belliqueux, de véritables artisans, ils s’intéressent plus à concevoir de belles et performantes armes, plutôt qu’à leurs utilisations. Cette terre creusée, de terre, de flammes et de mines, n’est pas un territoire paradisiaque, mais lorsqu’on désire une bonne et belle arme, il n’existe pas de lieu plus intéressant. Si les Dieux ne sont pas de la partie dans cette région de l’Empire, c’est simplement parce que les nains ont déconstruit leur croyance en quittant leurs terres d’origine, et qu’ils ne sont pas esprit à retomber dans la croyance. Ce qu’ils savent, et ce qu’ils ignorent, ne les trouble pas suffisamment pour avoir besoin de la croyance d’un Dieu. Toutefois, un respect envers l’Empereur se fait ressentir, et s’il n’est pas vu comme un Dieu, il est vu comme le plus grand Homme ayant jamais vécu.



PNJ:

Aymeric Barbefeu

« Ce que nous ne réglons pas par le tranchant de nos haches, nous le vengerons. »


Aymeric est le descendant du premier nain ayant accepté la main tendue par l’empereur. Élevé dans cette ambiance toute particulière, il voue une pleine confiance en l’Empereur. Le nain dirige sa cité avec une grande diligence, et il n’exige rien de moins que la perfection de la main de ses ouvriers. Ami du grand dirigeant, il est la dernière personne à connaître l’identité qui se cache sous l’armure. Bien que le bien être de l’Empire passe avant le reste, il est un homme de vice, de cupidité, et d’orgueil, et il acceptera des demandes plus que douteuses pour la bonne somme. Entraîné à l’art du combat, il n’est pas rare qu’il gère les insubordinations et le manque de respect par un combat protocolaire. Invaincu sur son territoire, certains n’hésitent pas à l’accuser de triche, mais pour cela il faudrait encore le prouver. Malin, un peu rustre, avide, et alcoolique, voilà comment on pourrait décrire ce joyeux luron qui, armé d’une hache à deux têtes, ne fait rire personne.



Lena Barbefeu

« Par la Barbe de mon Père ! »


Fille et héritière de la Forge de Chimera, la jeune Lena au tempérament plus qu’incontrôlable a d’autres projets que de devenir Forgeron. Ce qui plaît à la jeune naine c’est le champ de bataille c’est de mener les hommes. Si actuellement, elle commence seulement à se faire une place à travers les bataillons, tout indique qu’elle possède un avenir brillant en tant que guerrière si son père le lui autorise. Très respectueuse des valeurs arkheynossiennes, très admiratives de l’Empereur, elle a longtemps hésité à s’inscrire dans les ordres pour prêcher la parole de l’Empereur-Dieu. A la demande d’Aymeric, l’Empereur en personne lui a envoyé une lettre pour la convaincre de défendre son nom et sa parole sur le champ de bataille plutôt que dans un couvent. Manieuse d’un marteau bien trop lourd pour qu’elle soit à l’aise avec, elle ne se débine pas, et espère un jour avoir l’estime de l’Empereur comme son vieux paternel.



Olga « La Poisse » Barbefeu

« Aucun sacrifice n’est trop grand pour l’Empereur ! »


Olga n’est pas une femme talentueuse. Non. Pas talentueuse, pas entreprenante, pas douée dans quoique ce soit. Petite déjà elle fut bannie par son père de toutes les forges, en effet, la jeune naine avait un don pour faire dérailler les machines dont elle s’approchait, et faire s’éteindre les feux les plus ardents qu’elle regardait. Olga ne fut bonne à rien avant un long moment, puis un jour, au détour d’une conversation, elle comprit qu’il n’y avait pas que l’esprit dans la vie, mais que le corps était tout aussi important. Alors, elle se décida à devenir la meilleure des prostituées de la ville, pour offrir un peu de réconfort au guerrier de l’Empereur, elle donne son fessier pour l’effort de guerre. Il ne faut jamais sous-estimer les petites pierres de l’édifice !






Pandora



Démographie: 1 millions d’habitants habitants

Langue parlée: Commun, Elfique.

Particularité: Pandora n’est pas une ville à proprement parler. Dans cette immense ville se trouve une académie qui forme les soldats de l’Empire. Si l’enseignement y est sévère et qu’il résulte en un service militaire de trois ans obligatoires, de 16 à 19 ans, il n’est pas rare de voir des étudiants ne jamais revenir en visant la gloire sur les champs de batailles. Certains postes peuvent être obtenus via un cursus plus long, mais il est généralement mal vu de continuer ses études trop longtemps.

Religions pratiquées: Culte de l’Empereur-Dieu 60 %, Athée 40%.

Biome: Urbain climat tempéré.

Courte description: Pandora est une ville universitaire. Sa superficie massive, son architecture bien plus moderne, et travaillée, ainsi que son climat plus clément puisque magiquement soigné, rendrait jaloux bien d’autres villes de l’Empire. Pandora est un endroit plus agréable à vivre, plus paisible, loin des conflits, là où l’esprit peu s’épanouir, et où les jeunes gens peuvent se découvrir. C’est un mensonge. Si en apparence tout cela est bien vrai, et si l’Empire gave son peuple avec cette propagande, Pandora n’est pas une destination de rêve malgré son climat. Non. Pandora n’est rien de plus qu’une grande usine de Soldat où la propagande et l’endoctrinement sont maîtresses. S’il n’est pas rare que des élèves trop faibles mentalement craquent à la suite de cette expérience, et finissent à l’Institut Porte-Cendre, l’Etat ne leur offre que du mépris, et le plus souvent leurs familles aussi. Les entrainements proches de la torture, les heures qui ne sont pas comptées, les duels à répétition, les techniques d’humiliation, voilà ce qui se cachent véritablement derrière cette boite de tous les vices. Il est dans votre intérêt de donner votre vie à l’Empire. Il est acceptable de tuer pour l’Empereur. Votre voisin doit vous aider ou vous permettre d’avancer. Les faibles ne méritent que de nourrir le fort. Voilà des morales qu’on apprend bien vite à Pandora. La peinture de la glorieuse armure de l’Empereur dominant le corps sans vie d’un dragon, cette armure sans la moindre égratignure, cette armure sublime, affichée au-dessus du professeur dans chaque classe, cette armure qui juge. Qui n’attend que le meilleur des élèves. Et il est bon de respecter la parole d’un Dieu.



PNJ:

Madame « La Directrice » Diane

« Ne vous demandez pas quelles créatures hurlent dans la nuit. Ne questionnez pas qui vous attend dans les ténèbres. »


Madame La Directrice. Voilà donc la personne qui tient la prestigieuse Académie de Pandora d’une main de fer dans un gant de velours. Diane était une jeune mage de sang, il y a de ça … Il y a de ça bien trop longtemps pour que quiconque s’en rappelle excepté l’Empereur peut-être. Et après avoir combattu dans les Terres du sud ensemble, l’Empereur-Dieu comprit que sa vision, que son dévouement pour la nation était bien trop précieux pour être perdus au combat. Contre sa volonté, il l'enferma dans cette immense tour d’ivoire, de dorure et d’argent, avant de lui incomber la tâche ingrate de former ceux qui auront la chance de mourir, là où elle ne pourra plus jamais poser les pieds. Si Madame La Directrice sait mieux que quiconque comment se passe la vie dans l’Empire, son école est un microcosme où elle est maîtresse. L’Ordre doit régner en apparence. En apparence seulement. Si tuer un élève au milieu de la cour est évidemment mal vu, ce qui l’est beaucoup moins c’est de faire disparaître un rival, humilier son petit camarade, prendre une activité au sérieux, et malencontreusement blessé son partenaire d'entraînement. Tant d’accidents qui peuvent arriver et qui resteront consignés comme des « Événements sans conséquence réelle » dans le dossier de nos jeunes étudiants. Directrice elle ne s’occupe que de peu de cursus, bien qu’elle soit disposée parfois à enseigner les bases de la magie nécromantique aux jeunes arrivant de première année. Si Diane n’a pas connu l’exaltation du champ de bataille, ce n’est pas pour autant qu’il faut la sous-estimer, c’est la raison principale pour laquelle l’Empereur voulait l’enfermer près des élèves, c’est qu’il a parfaitement conscience que c’est une mage plus que compétente, capable de protéger la vie des étudiants.
Elle fait partie du conseil des six, chacun chargé d’un enseignement majeur dans l’Académie.



Alice « La Sainte » Desford

« Nous sommes plus tranchants, lorsque nous sommes brisés. »


S’il existe des professeurs comme Diane mis ici de force par l’Empereur, il existe des professeurs qui ont choisi de venir ici, et Alice fait partie de cette caste-là. Cette puissante mage de combat a trop vécu les affres de la guerre, elle a trop vu la population souffrir d’une guerre interminable où la justice n’était plus une priorité. Si Alice est contre cette guerre, elle sait se taire pour ne pas se faire exécuter, et elle se contente de subtilement passer des messages à travers ses cours. Des messages de paix, d’équilibre, de bonté.Humaine originaire des terres du Nord, elle n’a pas grandi avec l’idéologie arkheynossienne, et on le ressent dans sa façon d’agir, dans sa façon de juger que les méthodes de l’Empereur tiennent de la barbarie. Grande duelliste, elle est celle qui s’occupe du renforcement du corps des élèves. Si ces cours sont de plus en plus critiqués pour sa façon jugée lâche d’enseigner, il n’en demeure pas moins que de grandes lames sont sorties de ses classes.



Willem « EURK » Vrammout

« Devenons Maître de l’horreur, voulez-vous ? »


On ne pourrait pas tant parler d’un surnom, que d’un onomatopée récurrent, lorsque les jeunes élèves posent leurs yeux sur l’abomination qu’est Willem. Personne ne sait comme une telle chaire a pu être maudite, comme elle a plus flétrir, pourrir, devenir cet immense amas de flasque de lipide et de graisse. Se traînant comme un macabé dans les couloirs, Willem n’a pas honte de son apparence, ni des regards qu’on lui lance en permanence. Ce qu’il a dû faire pour l’Empire, il ne le regrette pas, pas un instant. Et l’Empereur l’en remercie. Willem marié de force par l’Empereur à une véritable beauté étrangère, vit une vie heureuse en tant que Professeur de sévices et de tortures. S’il lui arrive de pratiquer sur des animaux, Willem préférera toujours le véritable matériau. Des prisonniers de guerres, des traîtres à la nation, des blasphémateurs, Willem trouve toujours de la viande fraîche pour faire son cours, et d’une façon ou d’une autre, s’il veut un corps, il en trouvera un.



Lison « La Zélée »

« L’empereur … Il me parle. »


Non Lison. L’Empereur ne te parle pas. Tu y crois évidemment, mais l’Empereur a mieux à faire que de parler à une écorchée. Lison faisait partie des « Promesses de l’Empereur » avant qu'elle ne soit excommuniée par l’église. Si la raison de son excommunication reste mystérieuse, une chose est sûre, l’Empereur fut tant touché par la ferveur véritable de la jeune écorchée qu’il lui promit une place à l’académie. Et suivant les mots de son Dieu, elle commença à enseigner ici. Lison n’est pas ce qu’on pourrait appeler une bonne professeure d’évocation, mais c’est son rôle. Ce qui pose problème, n’est pas sa maîtrise des éléments, non, ce qui pose problème c’est sa pédagogie. Elle n’hésitera pas à brûler un élève qui bavarde un peu trop, ou à jeter une roche au dernier de la classe. Si certains parviennent à décrypter certains mystères élémentaires à travers son enseignement, sa classe reste un obscur mélange de facétie religieuse et d’excès de colère. En revanche, pour palier à son professorat contestable, elle organise souvent des duels de mage, et si elle ne leurs apprend pas grand-chose oralement, empiriquement, ses cours intenses, dangereux, qui demandent d’user autant de la ruse que du vice, permettent de créer de vrai mage prêt à se battre sur le champ de bataille.



Cyril « Le Prêtre » Jägger

« Ai-je l’air du genre d’homme qui vous laisserez mourir ? »


Cyril est ce qu’on peut appeler une personne énigmatique. Si l’on ne sait pas d’où il vient, si on ne connaît ni sa position envers l’Empereur et l’empire, on sait deux informations sur son compte. La première est son allégeance envers La Directrice sans faille, la deuxième c’est sa spécialité. Maître de la conjuration, il n’est pas rare de le voir se balader avec des bêtes chtoniennes, des amalgames de chairs, ou d’autres aberrations lovecraftiennes qui lui obéissent au doigt et à l’œil. Le jeune professeur est aimé de ses élèves, comme il semble les aimer en retour, toutefois rien n’est véritable à son propos, pas même son nom, et il est difficile de faire un portrait clair de la personne. S’il garde sa place, c’est grâce à son savoir indispensable, mais il est hautement surveillé par les services d’Arkheynos.



Roxanne H. Erato

« Un Dieu ? Je n’en vois aucun. »


Roxanne est la plus jeune des mages à avoir accédé au conseil. Cette demi-elfe ouvertement athée, ne s’intéresse pas à l’homme derrière l’Empereur, mais bien à l’Empire. Xénophobe, pragmatique, la Rouquine ne prône la suprématie des mages au-dessus du reste de la plèbe. Si elle n’est pas mauvaise, on pourrait difficilement la qualifier comme bonne, elle a cultivé une philosophie de « La fin justifie les moyens », et elle est prête à sacrifier sans mal quelques milliers de vie pour atteindre son objectif. Professeure de magie d’enchantement, spécialisée dans la domination, elle atteint son rang en évinçant discrètement son propre professeur. Impressionnée par la manœuvre, et par la conviction de la gamine, La Directrice lui a offert ce poste important, en espérant pouvoir traquer ses prochaines manigances.






Milagre



Démographie: 3 millions d’habitants

Langue parlée: Commun.

Particularité: Milagre est la ville Sainte de l’Empire. Elle est la dernière preuve de la grandeur passée de l’Empire. Ici, il n’y a pas de place pour les autres races, et si l’Eglise de l’Empereur-Dieu ne peut ouvertement pas déclarer sa xénophobie à cause de la politique mené par leur Dieu, elle peut en revanche, mené une propagande de discréditation des autres races, des autres religions jugées comme hérétique. Les autodafés, et ordalie sont monnaie-courante pour les inquisitrices de cette religion. Si cette ville possède une véritable influence culturelle et politique, elle n’en reste pas moins un moyen de production de soldat. Des soldats d’élite dévoués à l’Empereur à ses plans les plus obscurs.

Religions pratiquées: Le Culte de l’Empereur-Dieu 100%

Courte description: Milagre est la plaque tournante de la religion de l’Empereur-Dieu. Cette ville fournit l’Empire en inquisiteur, prêtresse, et combattant. Si cette ville est particulièrement dépendante du reste de l’Empire en ce qui concerne ses besoins, il est un honneur pour l’Empire de la servir. S’il existe des personnes de foi indépendante, la majorité est rattachée à l’organisation des Promises de l’Empereur qui s’occupent du bon fonctionnement de la ville, ainsi que du respect d’une loi stricte. Ici, des mages fervents sont formés à l’art de la guerre, et d’illustres noms de l’Empire sont sortis de ces églises austères.



PNJ:

Impératrice Ophelia Alba

« Nous honorons l’Empereur-Dieu, de nos mots, nos actions, nos corps et nos âmes. »


Fondatrice et régente des « Promises de l’Empereur », Ophelia est une femme à la foi sans limite et sans concession. Sa foi n’est pas simplement motivée par la religion, mais bel et bien par l’amour aussi. Ophelia est la première promise de l’Empereur, et celle avec qui l’homme peut, s’il le souhaite, évacuer ses envies. Et la tendresse qu’Ophelia porte à son égard s’éloigne du simple devoir, il s’agit d’un amour vrai, bien que loin d’être chevaleresque. Inquisitrice et combattante, Ophelia n’hésite jamais à rejoindre les troupes pour un temps afin de tailler de l’elfe, ou plus souvent encore, imposer sa magie sainte sur le front des pauvres blessés au combat. Prêtresse, épéiste, archère, une femme de bien des talents qui s’occupent avec tendresse de ses filles. Cinquante inquisitrice, uniquement des femmes, qui seraient capables de prendre sa place si elle venait à tomber. Amante des arts, elle prend un soin particulier à contracter des musiciens, des peintres et des écrivains talentueux pour leur servir de mécène.



Ael « La Pieuse »

« Je suis une, mais aussi plusieurs, pour le bien être de ce qui doit être. »


Ael représente l’incarnation du sacrifice à l’Empire. Son corps blafard, dénué de pilosité, de cheveux, un corps scarifié pour sa foi, elle est faite du matériau le plus pieu qu’on puisse trouver. De ses yeux coulent en permanence un liquide noir et épais, résultat de toute la corruption qu’elle a emmagasiné à force de flirter avec les forces occultes, et à la surconsommation de magie. Sa voix est plus proche d’un objet, d’une construction, que d’une créature vivante. Un bruit dur, métallique, rempli d’écho et de terribles harmonies.Plus grande combattante des Promises de l’Empereur, les accomplissements d’Ael sont légions tant par le sadisme qu’elle a été capable de démontrer, que par son efficacité brutale. S’il est dit que le liquide poisseux que ses yeux pleurent viendrait d’une malédiction, ou même de la punition de l’Empereur à Ael pour un crime dont tout le monde ignore la nature, Ael a juré une loyauté éternelle à l’Homme-Dieu, et elle compte bien tenir sa parole. Profondément vicieuse et égocentrique, comme bien des personnes haut-placées au sein de l’Empire, Ael ne voit la vie que comme une pierre à un édifice à la gloire de l’Empereur, et les massacres qu’elle perpétue en son nom, et au nom de sa foi, ne sont à ses yeux que des actes banales d’un croyant.



Celle-Qui-Rode

« Il n’existe qu’un Empereur. Qu’un Dieu. Qu’un Sauveur. Un seul peut nous délivrer. »


Là où il y a de la religion, il y a du fanatisme. Là où il y a du fanatisme, il y a l’excès. Et l’excès est le domaine privilégié des hommes. Celle-Qui-Rode n’est plus une femme. Il ne fait aucun doute qu’elle l'eût été, un jour, mais que dans sa croyance elle a perdu tout ce qu’elle était autrefois. Cette femme au nom désormais oublié, était autrefois une jeune prêtresse du couvent de l’Empereur-Dieu. Elle était, supposément, une belle femme, une jeune adoratrice de l’Empereur-Dieu comme il y en avait eu des centaines, des milliers avant elle. Mais Celle-Qui-Rôde avait eu une vision, elle devait être la prochaine étape, elle devait être l’image que l’Empereur cherchait, elle devait être plus qu’une humaine. Suivant la voix de l’Empereur, elle se mit dans l’idée de rechercher une forme plus adéquate à sa mission. Et à travers les mutations Occultes, à travers la médecine, à travers la mécanique, elle se décharna, elle retira la peau, les muscles, elle retira ce qui tenait de l’homme, et elle ne devint qu’un amas de métaux, un amas de putride de simili-chair animé par l’occulte. Elle n’est plus une femme. Elle n’est plus une prêtresse. Elle est Celle-Qui-Rôde. Loin d’être dénuée d’esprit Celle-Qui-Rode a pour volonté de convertir tout le monde à la foi, à la véritable, et à sauver les gens de l’hérésie, même si cela signifie éventrer, tripes par tripes, les hommes, et les attacher dans des homonculus animé par l’Occulte. Dans des créations dignes de l’Empereur. Dogmatique, hiérarchique, orthodoxe, l’esprit de Celle-Qui-Rode est une zone dangereuse, trouble, consacrée à l’Empire.

Si elle apparaît comme délirante d’une certaine façon, et que son fanatisme effraye le reste des promises, elles admettent volontiers que sa puissance occulte, nécromantique, sont des puissances à ne pas dénigrer. Manipulatrice, froide, elle désire la place d’Ophélia, et serait prête à bien des sacrifices pour l’obtenir.






La Jetée d’or / L’Atoll des hommes morts



Démographie: 4 millions d’habitants 60% Humain, 40 % Mixte

Langue parlée: Commun, elfique, nain.

Particularité: L’Atoll des hommes morts représente le plus varié des biomes aquatiques. Grâce à sa barrière de corail massive, un écosystème prolifique s’est développé, et s’il a hérité de ce nom-ci, c’est qu’il y avait bien trop d’inconscients, incapables de reconnaître l’opiniâtreté de la nature, qui ont perdu la vie trop bêtement en voulant pêcher un poisson plus gros que leur moyen. La Jetée d’or qui a naturellement vu le jour sur ses côtes, vrai repère de crapules, et de forbans, est aussi la principale source de poisson de l’Empire, ce qui constitue un nombre considérable de plats typiques.

Religions pratiquées: Religion de l’Empereur-Dieu 60%, 40% Athée .

Biome: Plaine Humide / Marin

Courte description : Fondé sur des plaines humides, les canaux sont utilisés autant que les ruelles pour se déplacer d’un endroit à un autre. Petite ville, serrée, étroite, avec de nombreux ports pour exporter un maximum de produits, et pour dissimuler un maximum d’affaires. Ici, rien ne reste mort bien longtemps, et l’espace est si précieux, qu’il n’est pas rare que les bâtisses abandonnées soient rasés après seulement quelques jours, et que les cimetières soient tout simplement évacués par soucis d’espace. La crasse y est une invitée de marque accompagnée le plus souvent de la maladie. Il n’est pas rare d’entendre une sirène retentir, trois coups stridents succincts puis un coup strident long. Les habitants le savent très bien, ce signal signifie la mise en quarantaine de la ville et l’apparition d’une nouvelle forme de peste. Comment cette ville tient ? Personne ne sait vraiment, plus proche dans ses valeurs des petites îles indépendantes proches d’elle, que de l’Empire, la culture de la loi du plus fort y est toutefois présente.



PNJ:

Billy « Le boiteux » Rowan

« Rien n’est pas à vendre. Il suffit d’y mettre le bon prix. »


Billy ne croit pas en Dieu, pas plus qu’il ne croit que l’Empereur ne soit immortel, ou qu’il soit l’incarnation d’une quelconque puissance métaphysique ou cosmique. Non. Il croit que c’est un homme. Mais c’est mieux ainsi. Si Billy a un Dieu, c’est bien le Dieu de l’argent. Sa loyauté envers l’Empire n’est guère une question de conviction, mais plus une question d’opportunisme. Si Billy avait su se montrer utile il y a une décennie de cela lors de la révolte du Corail, il a depuis perdu toute conviction de se battre, et celui qui dirige la ville en tant que maire, n’est en vérité, rien de plus qu’un pochetron de plus dans ses rues sales et humides, puant le poisson et l’arnaque à plein nez. Le visage sale, marqué par les maladies qu’il a essuyé tout au long de sa vie, l’ami Billy n’a pas le physique du type à qui on voudrait demander son chemin. Et pour cause, l’ami Billy serait plus apte à vous renseigner vers une ruelle sombre où vous vous ferez piquer votre goûter.



Les hommes sous le chapeau

« Nous sommes la loi. »


Ces hommes qui se ressemblent tous, et qui fonctionnent de concert, sont la « « « « police » » » » de ces lieux. En vérité, ils oeuvrent surtout à ce que ceux qui payent récupèrent leurs biens, et que ceux qui sont assez stupides pour ne pas payer, comprennent pourquoi il s’agissait d’une stupide idée. Cet endroit de non-lieu où la loi d’Arkheynos ne s’applique qu’avec des pincettes est régi par la brutalité, l’humiliation, et le crime, tout ça sous l’œil avisé des Hommes sous le chapeau, qui travaille pour le petit Billy. Pour l’instant.



Matthieu « Mr Gentil » Maret

« Il n’existe aucune vie qui ne mérite pas d’être sauvé. »


Mr Gentil est un vieux bonhomme, qui inspire la confiance au premier coup d’œil. Ses traits bien que ridés sont loin d’être dur, et sous ce visage qui semble avoir connu la création du monde, se cache un homme bon, incapable de nuire à son prochain. A la tête du plus grand hôpital de la Jetée d’or, il soigne les grands blessés, les lépreux et les cancéreux, parfois gratuitement. Souvent surmené, il continue toutefois à s'exercer, convaincu que sans lui, tout irait à volo. On ne sait pas ce qui peut motiver la candeur de cette homme, ni sa bonté, et si les plus sceptiques lui prêtent des histoires de recèle de mineurs, de ventes d’organes et d’autres ignominies, Mr Gentil s’en lave les mains, et se prépare déjà à sauver son prochain patient.






Cornucopia



Démographie: 1 millions d’habitants, 90% Humains, 7% Orc, 3 % Le reste

Langue parlée: Commun

Particularité: Cornucopia est la ville agricole de l’Empire, son espace est consacré à fournir les troupes du Triomphe de l’Empereur en vivre, puis le reste de l’Empire. Si la production de cette ville est le point utile de cette ville, ce n’est pas du tout pour cela qu’elle est connue, mais plutôt pour son immense colisée à quelques kilomètres seulement, qui voit des combats dantesques toute l’année et qui forme de parfaits gladiateurs qui luttent toute l’année, mais plus particulièrement au Solstice d’été pendant une cérémonie à la gloire de l’Empire. Les orcs sont plus présents ici qu’ailleurs dans le reste de l’Empire tant leur carrure monstrueuse leur permet de produire des spectacles flamboyants.

Religions pratiquées: Religion de l’Empereur-Dieu 90%, 8% Athée, 2% Autres.

Biome: Plaine

Courte description :Ville rurale dotée d’hectares innombrables de blés, de vignes, et de légumes, sans parler des pâturages pour fournir à la haute société les plus délicates viandes, cette ville n’est que peu connue pour son aspect agricole bien qu’il soit plus important que le reste. Ici on trouvera des gladiateurs assoiffés de gloire et de liberté, soumis au joug ineffable de l’Empereur, ici on trouvera des gens bien trop curieux pour leur propre bien qui provoquent les mauvaises personnes dans une taverne et finissent dans un sale état.



PNJ:

Nazdrug « Le Roi »

« BOGAR ! »


Au colisée il existe un nom qu’on garde pour les jours de fêtes. Il existe un nom qui fait bouger chaque noble de l’Empire. Et son nom c’est Nazdrug. Gladiateur invaincu, capable de tuer autant des bêtes, que des hommes, que des hommes des mythes, Nazdrug n’a pas été seulement formé pour être fort. Ni même pour le combat en arène. Nazdrug a été formé pour être une machine de spectacle. L’orc s’avance sur le sable encore frais du sang de son dernier adversaire, et il laisse à son nouvel opposant l’occasion de porter le premier coup. Il ne craint pas la mort. Il ne craint pas de perdre. Ce qui l’effraye c’est qu’on l’abandonne qu’on lui retire la gloire qui lui a été offerte. Et si depuis vingt ans, il est au sommet, il sait que de nouvelles légendes naissent chaque jour et qu’il doit continuer d’assurer une prestation sans pareille. Sous peine de retourner sur les premières lignes au vu de sa race et de son rang.



Zugor « L’estropiant »

« BAGOR ! »


Zugor ne se bat plus dans l’arène, pas plus qu’il ne se bat sur le champ de bataille. Mais il s’exhibe parfois sur le sable, avec sa grande cuirasse, avec son extra-squelette mécanique, et son armure d’antan. Mais qui est Zugor l’estropiant dans ce cas ? Il est le propriétaire et l'entraîneur du gladiateur. Ancienne légende, il n’est devenu que l’ombre de lui-même par paresse et avarice. Motivé par rien de plus qu’une belle bourse à la fin du spectacle, il s’arrange pour truquer les spectacles autant que possible pour viser un maximum les parieurs. Toutefois, comme tous les orcs sous sa tutelle, il a une peur maladive de l’Empereur, une paranoïa, qui l’empêcherait réellement de causer trop de problèmes au sein de l’empire, et même au sein de Cornucopia.



Arthur « L’Espoir » Fila

« Bagarre. »


Arthur est un jeune homme encore loin d’avoir atteint le maximum de ses capacités. Pourtant, le jeune homme a déjà un parcours atypique. Vainqueur du tournoi des Ecoles, permettant à l’Empire des hommes d’accrocher un nouveau trophée le long de ses couloirs, il aurait pu devenir un brillant tacticien, un épéiste hors-norme sur le front, mais il préféra parfaire sa maîtrise avant cela entre les murs du Colisée. Son parcours atypique fait de lui un élément à suivre de près par tous, et même l’Empereur. Ce dernier lui a offert le fleuret qu’il porte de nos jours. S’il est encore loin de pouvoir égaler sur la force brute, les orcs, et sur la technique les elfes, Arthur représente le renouveau de l’humanité à n’en pas douter.






Institut Porte-Cendre



Démographie: 450 000 habitants

Langue parlée: Commun

Particularité: L’institut Porte-Cendre n’est pas une ville, mais une grande facilité hospitalière où on peut retrouver les esprits les plus tordus, les méthodes les plus illégales, les personnes les moins éthiques, et ceux qui méritent le plus de subir toutes ses horreurs.

Religions pratiquées:Religion de l’Empereur-Dieu par la totalité du corps médical.

Biome: L’institut Porte-Cendre n’est pas une ville, mais une grande facilité hospitalière où on peut retrouver les esprits les plus tordus, les méthodes les plus illégales, les personnes les moins éthiques, et ceux qui méritent le plus de subir toutes ses horreurs.

Courte description :L’institut Porte-Cendre est un complexe pénitencier et hospitalier où on punit autant qu’on prétend soigner des patients qui finissent toujours dans un bien plus piteux état qu’à leur entrée. S’il n’est pas rare que certains gardent leur sanité, il n’est pas courant qu’ils survivent. Cet endroit fétide n’est bon que pour les dégénérés, les criminels et les abominations. Rien de bon ne parcourt ses rues, et il est impossible de s’y rendre volontairement. Il peut arriver ceci dit d’y mettre les pieds par hasard, en se baladant dans les environs. Et même si la curiosité pourrait amener plus d’un inconscient à franchir le seuil, il faut de la stupidité pour faire durer son séjour.



PNJ:

Rio « L’homme » Anre

« Prenez garde à ne pas regarder l’abysse trop longtemps. »


Me croiriez-vous si je vous assurais que Rio était toujours un homme ? Lui non plus, et sans aucun doute pour cela qu’il insiste tant qu’on n’oublie pas sa nature, puisque c’est lui qui se nomme ainsi. L’homme. Et c’est le cas en vérité. Rio n’est que le produit d’une science dévoyée, il n’est que le résultat d’expériences génétiques et de greffes saturées en magie. Mais Rio reste un homme. Et c’est ce même homme qui est responsable de l’Institut Porte-Cendre, il est responsable du bon fonctionnement du corps scientifique et de la surveillance de cette ville. Cette ville doit rester secrète tant les horreurs qui s’y produisent, et que les horreurs qu’elle produit y sont méprisables. Plus important encore, les détenus de très grandes dangerosités qui y sont gardés doivent rester sous surveillance permanente. Ah ? J’avais oublié de vous parler des détenus.



Ahmed « Le prophète »

« Les voix … Vous les entendez ? »


Ahmed était un soldat banal, une petite frappe qui ne faisait pas avancer la guerre d’un pouce, mais qui le faisait avec les meilleures intentions du monde. C’était jusqu’à ce qu’un sort un peu trop puissant éclate tout près de lui, et brouille son esprit. Ce qui s’est passé ensuite pour le pauvre Ahmed le perdit à jamais dans la démence. Il fut envoyé à l’institut pour être traité, mais personne n’y est jamais vraiment traité sans qu’on y retire une forme de gain, et les docteurs commencèrent à expérimenter sur son corps, à torturer son esprit, à voir les limites qu’un homme lambda pouvait supporter, et bientôt, il ne resta plus d’Ahmed, mais qu’un déviant, un fou, se baladant la hache à la main dans les ruelles pestiférées et sombres de ce grand hôpital près à sauter sur le premier inconscient qui le croisait.



Johnny « Galoche » Joli-Cœur

« Tu sais ce qui me ferait bander ? C’est que tu me roules une pelle. »


Johnny était un des hommes les plus prisés dans la noblesse. Beau, sensuel, charismatique, véritable leader né, Johnny Joli-Cœur avait tout pour plaire. Il avait tout, si bien, qu’il commença à désirer plus, il commença à rêver plus grand. Mais il y avait des choses qu’on ne pouvait atteindre, même à Arkheynos, l’Empire du possible. Il tenta de séduire Ophelia, l’Impératrice elle-même, et lorsqu’il essuya un refus, son premier refus de son existence, il commença à sévir, à égorger des pauvres femmes innocentes dans des ruelles sombres. Il ne tarda pas avant qu’il soit attrapé, et envoyé à l’Institut. Là-bas, ils voulurent comprendre sa beauté, ce qui faisait de lui un homme si attirant, alors ils déchirèrent d’abord ses paupières, puis et brisèrent sa mâchoire pour savoir ce qui constituait le caractère « beau ». Les études n’eurent que peu de résultat concluant, mais avant que l’étude soit classifiée, Johnny Joli-Cœur, celui qu’on surnommait Galoche, n’était plus qu’un immonde amas de chair, suppurant, suintant la souffrance, et le désespoir.



Humains / Homoncule / Expérience ratée


Sans parler des plus connus ici, les abominations en tout genre, les échecs de la science se baladent et s’entretuent dans cette facilité qui n’existe légalement pas. La garde menée par des scientifiques aussi mutés que leurs patients s’assure que quiconque s’aventurant un peu trop près de cet endroit soit raccompagné vers la sortie … Ou vers l’entrée.





Bastion Limaille



Démographie: 500 000 d’habitants, Nain 60% Humain 30%, Elfe 10%

Langue parlée: Commun, nain.

Religions pratiquées: Religion de l’Empereur-Dieu 90%.

Biome: Plaine

Courte description :Autrefois village minier peuplé d'une centaine de milliers, la ville a connu un essor démographique titanesque au fil des décennies. L'appétit impérial insatiable réclamant toujours plus de minerais de grandes valeurs, aussi bien économique que militaire, poussait de plus en plus d'âmes vers le nord en quête d'enrichissement pour les plus cupides, les braves préférant invoquer le simple devoir. Recluse au cœur des montagnes, rendant difficile son accès, en plus de la grande distance séparant le bastion des autres cités, cette ville isolée évolue dans un micro-cosmos. Avec des problématiques bien différentes du reste de l'empire, sa seule existence est justifiée par l'unique présence de la mine au centre de la cité, donnant par la même occasion son nom au bastion. Autrefois simple mine exclusivement de fer, la découverte d'autre gisement radicalement plus intéressant par les nains a grandement accéléré le développement du bastion, transformant cette ville comparable jadis à un camp de pêcheur, en véritable machine à extraire la roche.

Loin dans les profondeurs s'acharnent inlassablement les mineurs, drainant de la roche les minerais tant convoités par l'empire. À l'extérieur se trouvent les habitations des travailleurs, le tout protégés par plusieurs lignes de remparts divisant la cité en trois enceintes distinctes, reflétant parfaitement l'évolution de cette cité, s'agrandissant au fur et à mesure des années. Les épais murs de pierre grise, recouverte par la neige éternelle, n'ont pas que pour rôle de dissuader, loin de là. Depuis sa création, le Bastion Limaille a constamment souffert des assauts des hommes du nord. Les tribus barbares installées plus au nord, provenant d'on ne sait où tant ces peuples demeurent énigmatiques, ont constamment fait peser une menace non négligeable sur les habitants de la cité minière. Bien que peu développés technologiquement, ces sauvageons demeurent tenaces, leur démographie ainsi que l'intensité de leur attaque n'a fait que croître au fil du temps, incarnation d'un danger grandissant et plus que préoccupant. La difficulté du terrain ainsi que ses conditions météorologiques (neige constante, épais brouillards, faune hostile, etc) rendant favorables les guérillas, il est impossible et certainement contre productif d'y envoyer une armée solide, opération chronophage pour l'empire d'Arkheynos en temps de guerre.

La cité, constituée massivement d'une population naine est parfois appelée le Bastion rédemption. La ville est affublée d'un tel surnom pour la simple raison qu'ici, nulle ne se préoccupe de votre passé, tant elle est éloignée de tout. L'on accorde d'importance qu'au travail abattu, le reste n'étant que "soucis de bonne femme" pour cité le chef du bastion.

Depuis une dizaine d'années s'est ajouté aux citoyens du bastion un tout nouveau type d'individus. Des barbares. Ceux-ci ayant fait le choix de l'empire plutôt que leurs origines. Ce fut tout un clan qui vint gonfler les rangs de l'empire, échangeant leur place au sein de celui-ci contre un savoir-faire ancestral sans équivalent. Dompter les monstres du nord. Excellent éleveur et dompteur, le clan Hydra (nommé pour l'étrange coutume de certains de porter la tête des créatures abattus par leurs armes en guise d'épaulières) offre à l'empire des monstres et bêtes de guerres plus qu'utile dans le conflit l'opposant a Luhorn.

Une certaine méfiance et un racisme prononcés des citoyens envers les nouveaux arrivants, aucun ne remettra en cause leur présence, du moins de façon ouverte. Seul compte l'effort de guerre.

Le bastion est composé massivement de mineurs, à hauteur de 60% de sa population, avec 25% de guerrier, 5% d'explorateur, et les 10% restant encadrant les diverses professions primordiales à la vie d'une cité. Ici, tous peuvent trouver sa place, mais c'est une vie difficile, rude et sans pitié que l'on choisit d'adopter. Les cimetières sont pleins de rêveurs.



PNJ:

Thorrik Barbefeu

Régent Nain


Cousin d'Aymeric, Thorrik est le régent du bastion Limaille depuis plus de 30 ans. Régnant d'une main de fer dans un gant d'acier, il n'est pas celui que les plus grands écrivains citerons pour exemple la tendresse et la patience. Impétueux, ses yeux semblent capables de cracher des flammes tandis qu'il aboie des ordres aux mineurs résilients, ou quand il s'insurge de voir la production prendre du retard. Pour ce nain furibond, il n'y a rien qui surpasse l'effort de guerre dont il a fait sa mission principale. Étant à l'origine de l'introduction des barbares dans l'empire, le régent s'en enorgueillit, rappelant régulièrement qu'il fut celui qui vit le potentiel de ces tribus.D'une loyauté sans



Mardin Goune

Nain Trésorier


Trésorier du bastion depuis plus d'un siècle, rien n'échappe à son regard méticuleux et intransigeant. Comparable à un œil guettant au sommet d'une tour son royaume, il veille constamment au bon déroulement des transactions, du bon rationnement des stocks, de la collecte des impôts, etc. Il n'est pas rare que tous les maux de la cité lui soient incombés, souvent comparé à un vautour n'hésitant pas à ruiner jusqu'au dernier sous l'un des habitants si celui avait le malheur d'avoir du retard dans ses paiements. Le vieux nain conserve tout l'appui du régent, d'autant plus dans ses missions concernant l'effort de guerre. Loin d'être qu'un simple bureaucrate, Mardin est aussi un nain de terrain, privilégiant la descente dans la mine plutôt que la douceur du feu de cheminée de son bureau. L'inspecteur des travaux en cours, et des travaux fini, c'est lui.



Drar "Le nain à tout faire."

Nain


Bien que son titre ne semble pas reluisant, c'est en vérité tout le contraire. Nommé ainsi de par sa polyvalence, Drar est le nain en charge des soucis extérieurs au bastion. Passant le plus clair de son nom, Drar possède plusieurs casquettes : trappeur, explorateur, mineur parfois. Toutefois, l'une ne fut pas nommée et demeure son activité préférée. Purger les barbares. Prenant son pied à exterminer leur ennemi, le nain prend un malin plaisir à organiser des battues, assassinats ou actes terroristes à l'encontre de leur assiégeant régulier. Muni d'un fusil réalisé par les plus fameux artisans de la cité, l'on raconte que le nain est capable de rester plusieurs jours campé pour abattre sa cible.Taciturne, Drar est un solitaire dans l'âme, réticent clairement à l'arrivée du Clan Hydra. Tous les habitants du Bastion louent les qualités hors pair du nain qui fait office de gardien de la ville. Pressentis comme le successeur du régent, une certaine animosité réciproque anime les deux nains tout aussi déterminés l'un que l'autre.







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