Sa description physique change quelque peu selon les peuples, variant de guerrier un peu plus haut que la moyenne à colosse de muscle. Du haut de ses deux mètres vingt-sept, Hans pèse au bas mot cent-cinquante kilo de muscle. Sa génétique d’Aasimar l’aidant grandement à garder et à conserver sa forme physique, il entretient tout de même sa carrure de guerrier du trône de blanc comme il se doit. Sa peau et proche du blanc neige, ses cheveux son d’un noir de jais contrastant totalement avec cela et ses iris sont d’un rouge écarlate, qui, avec sa profession et son caractère, à tendance à ne plus être visible, le tout sur un visage carré et droit, aussi massif que son corps.

Il possède plusieurs tatouages liés à des passages de rite, tous d’un bleu azur. Une tête-de-loup sur une épaule, une tête d’ours sur l’autre et la lettre F en runique sur le torse du côté du cœur. Hans possède un très grand sourire armé d’une série de dents droite et blanches, mais il rend souvent mal à l’aise les gens, car jugé trop carnassier ou prédateur, surtout en connaissant le caractère de l’homme.

Son sang est d’une couleur bleu clair, presque aussi transparente que l’eau.

Sa tenue de prédilection est son armure de chevalier de la légion de Troneblanc, une armure massive peinte à leur couleur, rouge dans sa grande majorité et or sur les bordure, des décoration et des gravure arborant certaine partit de son armure à la gloire du dieux de la guerre. A sa ceinture d’armure on peu y voir une corde ou se trouve enfilé dessus trois crâne, un d’humain, un d’orc et un de gobelin. Il possède une voix rauque et puissante, rendant son rire effrayant quand on ne le connaît pas. Ses armes de prédilection sont ses deux haches de combats, mais il lui arrive de changer d’arme pour le goût du renouveau.

Hans est un personnage assez singulier, même pour les Aasimar. Il est ce qu’ils appellent une flamme éternelle, une personne aux émotions et au caractère fort tout au long de son age. Il est bon vivant, rieur, bon publique et loyal, prêt à tout pour ce qu’il tiens en estime. il partagera toujours des moments avec qui il en juge digne et n’est pas du genre avare, autant de sa bourse que de ses mots. C’est d’ailleurs ce dernier point qui lui vallut d’etre surnommé le faible. 

Il n’a pas sa langue dans sa poche et contrairement aux autres chevaliers, il a beaucoup de mal à cacher ses intentions ou son comportement. Comme tout tempérament de feu, Hans est prompte à la colère, l’énervement et monte facilement dans les tours quitte à ce que cela dérape. Mais même après ça, si vous en survivez, il vous offrira une bière et vous félicitera sûrement de votre courage et de votre force.

S’il vous apprécie, il vous le dira, s’il ne vous aime pas, il vous le dira, il déteste mentir, trouvant cela totalement indigne des enfants des dieux et préférera ne rien dire plutôt que de le faire. Son avis sur la magie est assez partagé, trouvant cela utile, mais loin d’être aussi honorable et glorieux que de se battre avec ses propres ressources, son propre corps, à la sueur et au sang.

La naissance d’Hans fut un signe évident pour son futur. Sa mère morte en le mettant au monde, il fut rapidement élevé par son père, chevalier de génération en génération, ainsi que par les autres membres de la confrérie. Le goût du sang et de l’action fut donc quelque chose de rapidement ancré et apprit pour lui, se retrouvant de devoir passé rite religieux et martial. C’est à son adolescence que les choses évoluèrent à nouveau. Sous le caractère bien trempé du jeune homme, sa famille décida de s’amuser un peu pour voir l’effet qu’aurait un élixir de combat sur lui, l’envoyant combattre des loups des steppes lui donnant pour consigne de boire la décoction juste avant.

La surprise et les rires furent mélangé quand il le virent revenir, presque sans vêtements, couvert de sang de bête et du sien, couvert de plaie, les iris totalement dilaté et injectés de sang, un énorme sourire malsain trempé de sang de l’un des loups qu’il avait décapité avec ses dents.

Il put donc rentrer sans effort parmi la confrérie, mais n’y évolua pas énormément, son tempérament brûlant et explosif étant beaucoup trop à géré pour lui offrir des responsabilité élevé et demandant du tact, son manque d’envie de mentir ne l’aidant pas non plus, tout cela lui donnant son surnom de faible parmi ses frères d’arme. Pour ce qui est des émotions plus tendres, ce fut à son adolescence, mais surtout au passage à l’âge adulte qu’il ressentit son premier coup de foudre. Lorsqu’il fut amené devant l’oracle pour voir son avenir, il fallut le retenir pour éviter qu’il ne fasse de bêtises, qu’il se ridiculise ou pire, qu’il se mette à dos l'oracle de la cité jusqu’à la fin de ses jours qui pourrait alors arriver plus tôt que prévu. Elle lui dit qu’il finirait ses jours comme il était né, dans le sang, la mort et les cries. Il s’était alors stupidement fait tatouer la première lettre de son prénom sur le torse, près de son cœur et jura de lui apporter autant de sang possible que ce soit le sien ou celui de leurs ennemies.

La suite de sa vie ? Et bien se battre contre les ennemies de Troneblanc, les ennemies des dieux et les ennemies des Aasimar, affrontant clan orc et gobelin, dépeçant de nombreuses bête de la corruption en se couvrant de gloire et de sang au coté de ses frères d'arme, là ou tout autre être normal aurait prit le pas inverse pour se protéger de son avenir funeste, lui l’embrassait à grand pas, pour la gloire de son peuple, pour le plaisir de l’adrénaline et pour ses dieux.

Ce fut d’ailleurs avec un énorme sourire qu’il accueillit la nouvelle de la découverte de l’Hérault d’Azathoth et ne put qu’être impatient de se battre au côté du peuple qu’il avait choisi de diriger, se disant qu’il devait être à la hauteur et que leurs ennemies offrirait des combats mémorable qui ne pourrons que ravir les dieux.