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Les sorcières sont comme des chats, elles ne supportent pas les autres, mais connaissent leur localisation, si elles ont besoin d'un service.

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Message  Eileen Wicked Ven 10 Fév - 5:21



Eileen Wicked


Race : Humaine - Vampire

Sexe : Feminin

Âge : 20 ans

Taille : 1m77

Rôle ou personnage prédéfini : Non !


Faction/Ville : Havresac

Métier : Co-Tenancière de la Boutique du Bunyip / Destinée du Sabbat

Aptitudes souhaitées :  Signifier II / Aesthès II / Sorcier I (s'il reste des sous ...)

Artéfact, gadget ou animal demandé :  
Signifier II:
Aesthès II:
Sorcier I:



Description physique


Mademoielle Wicked a le nez de sa mère la putain, et le sens des affaires de son père le lâche.
Elle a hérité du meilleur des deux mondes, et sans aucun doute pour cela, que la jeune enfant du Sabbat, élevée par celui-ci, a grandi pour devenir usant de ses dons dans l’occultisme pour devenir une présence appréciée et mystérieuse d’Havresac …

Eileen a les yeux aux reflets jaunâtre dû à la corruption qui la touche. Un jaune luminescent qui rappelle la bile, ou la bave d’un poisson peu frais. Autour de celui-ci, des marques noires, semblables à de la souillure ou de la suie se sont formées. Tout cela, n’est que le résultat des changements qui l’affectent, mais fort heureusement pour elle, sa malédiction s’arrête là. Des canines légèrement plus pointues que la moyenne, et des ongles noirs effilés, marque de sa capacité prédatrice.
Et le plus important, le plus notable, le grand chapeau mimique qu’elle porte autour de la tête. Si habituellement, lorsqu’une créature prend une telle apparence c’est pour vous arracher la tête, le sien se contente de servir de banque à énergie pour qu'elle puisse le drainer, en échange, lorsqu'elle n'est pas en combat, c'est la mimique qui la draine.

Le grand chapeau blanc a laissé place à un chapeau noir, recouvert d’yeux luminescent menaçant, et de grandes dents, d’où la salive ne cesse de couler. Cela ne la dérange pas. Si elle porte sur elle, à peu de chose près, la même odeur que la carcasse d’une baleine, on ne l’entend pas s’en plaindre. Elle fait un effort de couvrir son odeur fétide et putride par des fleurs, par des parfum bon marché, pour son équipage, mais cela ne fait qu’atténuer un mal trop grand.




Caractère


Eileen entretient une réputation plutôt bonne malgré ce qu’on pourrait croire, et pour cause, elle est la première à aider ceux dans le besoin. Un avortement, une mauvaise grippe, une envie d’envoyer un concurrent à la morgue, ou une peine de cœur, pour beaucoup d’âmes d’Havresac, Mademoiselle Wicked est la parfaite petite sorcière du coin de la rue. Si elle demande un petit tribut, le plus souvent en fiole de sang, parfois en pièce sonnante et trébuchante pour aider son équipage, on ne peut pas dire que ses tarifs soit abusés, et on pourrait presque croire en son petit numéro et en son altruisme.

Ce n’est pas le cas.

Eileen ne connait une allégeance qu’envers son équipage, et le Sabbat, l’organisation elle-même d’ailleurs, plus que les membres qui la composent. Si elle est capable de faire le bien autour d’elle, c’est simplement qu’elle croit qu’il est plus simple d’être aimé que détesté lorsqu’on souhaite obtenir un service. Alors elle enfile un sourire, et elle dit les mots que les gens veulent entendre. Ni plus, ni moins. Enjouée véritablement, elle a connu une enfance joyeuse et saine proche des sorcières, et on peut dire que de cette joie, une véritable puissance de la nature a su apparaître. Elle ne craint que le Gouverneur, qu’elle voudrait bien amadouer, et une mer calme, trop ennuyante.

Nourrissant ses besoins à l’aide de fioles religieusement conservées la charmante ne perd son tempérament qu’exceptionnellement, et elle préfère recourir à ce sang froid et fade, plutôt que de ruiner sa réputation. Ici, la réputation est tout.




Histoire



Eileen est une fille du peuple. Une gamin d’Havresac pure souche, le genre qui hante les ruelles sans avenir et sans joie dans le regard, le produit le plus pur que cette crasseuse ville a pu produire. Elle est née d’un marin violent qui prenait sans qu’on lui consente, et qui frappait lorsqu’on faisait savoir son opposition trop ouvertement. Et d’une femme qui était tombée sous son charme, qui peu après la naissance de la gamine, ne tarda pas à tomber, en mer avant de crever, le ventre ouvert par des poissons, nourrissant la bête d’Havresac.

Et elle, eh bien … Elle était la bête qu’on ne nourrissait pas. Très tôt à se nourrir de rat, de gnons d’ivrognes qui se défoulaient sur son petite crâne maladif, la peau plus boursouflée qu’après une peste bubonique, un teint verdâtre, où des montagnes de pue s’accumulaient sous la forme de petit mont avant d’éclater dans un mélange poisseux, blanc, et rouge. A peine plus grosse qu’un enfant de deux ans, alors qu’elle en avait quatre, Eileen ne parlait pas, pas plus qu’elle ne comprenait la plupart des émotions humaines. Sans aucun doute, elle avait eu une enfance difficile, mais elle ne souffrait pas. Pour souffrir, il fallait avoir connu la joie, ce genre de malheur accumulait ne résultait en rien, si ce n’est un retard dans sa croissance, et dans son intelligence. Parfois, elle se réveillait avec la pluie avant de vite se rendre compte qu’un marin un peu éméché l’avait confondu avec des chiottes, d’autres fois, c’était le poisson encore cru de la pêche qui lui faisait monter la salive à la bouche. L’odeur de crasse, et de maladies qui se dégageaient de la gamine suffisait à apitoyer certains marins, à en faire rire d’autres, mais tous s’accordaient pour dire que ce rejeton d’une pute, et d’un salop, n’irait nulle part.

Et ça aurait sans aucun doute était le cas. Si par un coup du hasard, un coup du destin, elle tomba devant Alon. Plus tard, elle décrira ce moment comme l’apparition d’un ange, elle décrira le moment où leurs regards se croisèrent comme une salvation indescriptible.
Pourtant, elle était bel et bien descriptible. Il s’agissait d’une femme généreuse, face à un chien sauvage, qui grognait plus qu’elle ne pensait, de la bave s’écoulait le long de ses pieds, passant par les quelques dents qui lui manquaient. Un visage tuméfié, un corps en charpie, brisé, des os en accordéon, bien d’autres personnes l’auraient laissé mourir. Mais allez savoir, s’il s’agissait d’un plan, ou d’une façon de se racheter pour d’autres méfaits, mais Alon recueillit la demoiselle. Et à ses cinq ans, elle commença sa formation sous son aile.

Si elle était évidemment destinée par sa matrone à rejoindre le Sabbat, Eileen n’était ni en état intellectuel ou physique de rejoindre un Castel. Aidée avec sa magie, elle corrigea son dos, ses dents, sa laideur, son odeur, et sa fragilité. Si son corps ne fut pas beau du jour au lendemain, à force de longue session, à la douleur comparable à de la torture, elle commença à marcher droit, par peur de resubir le même « châtiment », Eileen développa une manie, un toc véritablement, d’être impeccable sur tous les points. Bien vite, elle appris à haïr le chaos, les choses qui traînent, son dos état bien droit, et plus important encore, son esprit se devait d’être aussi organisé que sa chambre. Alon, par respect pour les traditions, malgré l’affection qu’elle développait pour la petite ne lui enseigna pas la magie, simple à parler, de façon très basique, à penser et à ne pas mordre les mollets des vieilles.

Mais il y avait des choses qui restaient encrées, comme toujours, et bien Eileen eut une peur des hommes, qu’elle apprit à contrôler ne serait-ce que pour pouvoir survivre sans passer pour une folle, mais il y eut une distance entre elle, et le reste des hommes.

Avec le temps vint une peur de la foule, en général, qui ne semblait s’adoucir qu’en présence de ses Sœurs. M’enfin, pour revenir à sa petite enfance, près d’Alon, elle n’apprit pas la magie … Mais Alon, laissait parfois trainer des livres, « sans le vouloir », et évidemment, la gamine lisait beaucoup. Il n’y avait pas grand-chose à faire de plus, lorsqu’on était enfermée nuit et jour, dans une sorte de prison dorée.

Alors elle lisait.

Et un jour, alors qu’Alon avait disparu plusieurs semaines, la sorcière rentra, affolée, constatant une toute petite mimique entrain de grignoter le pouce de la gamine. De ses petites dents, toutes petites, la jeune sorcière ne ressentait pas de grandes douleurs. Mais une forme de fascination. Peu importe quel monstre elle avait du contacter pour en arriver là, elle avait réussi à accomplir … Quelque chose. Et cela l’emplissait de joie. Il lui semble qu’elle Alon : Maman. La réaction de la Dame Yurlia reste floue, encore maintenant, mais il lui semblait avoir vu un rictus … Ou quelque chose dans la même veine.

Ce ne fut qu’à ses huit ans que l’enfant rentra officiellement dans les rangs du Sabbat. Elle était maintenant coiffée, apprêtée, sa peau n’était plus qu’une toile de boutons et de crevasses, elle était presque belle. Dans le miroir, elle se voyait difforme toujours, et elle préférait cacher son visage derrière son grand chapeau Mimique, Harvey. La langue de la créature qui se baladait sur son corps ne la dérangeait pas, pas plus que Mimoune qui se baladait entre ses bottes manquant de la faire tomber à chaque pas. Alon prit de la distance, pour laisser l’enfant sociabilisait avec des gens de son âge.
Là-bas, elle rencontra et Ophelia, et Ilia, la jeune prodige. Le fossé qui séparait les trois sorcières étaient dantesques. Ophelia était bien plus à l’aise avec les sortilèges, et ses talents pour les malédictions laissaient bien Eileen bouche bée, quant à Ilia … Elle boxait dans une toute autre catégorie.

Mais il y eut de l’entraide. Un lien. Une amitié sincère entre ses trois sorcières que tout séparaient, qui s’étaient retrouvés dans la même promo, et qui avaient fini par développer une filiation presque candide. Harvey et Mimoune n’était plus ses seuls amis. Elle en avait. Des vrais. Et pour ses deux sœurs, elle aurait pu écraser la moitié d’Havresac sous sa botte. Si Ilia inspira la nature jusqu’au-boutiste de la jeune sorcière, carriériste, motivée par la puissance, et sa haine pour le gouverneur, c’est bien grâce à Ophelia qu’elle garda son humanité, qu’elle comprit qu’il y avait deux façons de lutter contre le destin.

Tuer.

Et aimer.

Ensemble elles montèrent les échelons, Ilia leur mettait une distance, mais elle continuait d’étudier ensemble, Ilia prenait des missions toujours plus dangereuses tandis qu’Eileen perfectionnait son art. Plus souvent qu’elle n’aurait voulu, elle alla voir celle qu’elle considérait comme une mère, lui demandant conseil, grattant à sa porte tant pour des sortilèges que pour des recettes de cuisine. La vie était simple, et elle continuait avec sa rivale et amie à se surpasser.

C’est avec une grande tendresse qu’elle se rappelle de son rite de la sœur, où elle avait confectionné la robe d’Ophelia, spécialement destinée, à ce que sa camarade se tienne bien droit, et le fou rire qu’elle avait eu la première fois qu’elle s’était penchée. Sans parler de la robe pet que sa camarade lui avait fait, qui l’avait obligé à passer le gros de sa soirée parfaitement immobile sous peine de se taper une honte monumentale.

Le Sabbat avait toujours été là. Là quand lors de son rituel de malédiction, parce qu’elle ne connaissait pas le véritable test, elle avait décidé de bourrer une potion de toutes les horreurs qu’elle connaissait, de tous les petits diables et de leurs secrets qu’elle avait interrogé … Pour qu’au final ça lui pète à la gueule.

Là lorsque l’Eternité eut lieu, et qu’elle fut graver d’un vautour. Malgré la difficulté de l’action, Eileen choisit qu’on lui tatoue la langue. La douleur était atrocement grande, mais cela était fort symbolique. Le Sabbat lui avait rendu le goût de la vie, et leur offrait sa langue. Il ne serait jamais utilisé pour blesser ce lieu, et jamais, il ne causerait de tord à celles qui l’ont aimé. C’est avec émotion qu’elle vous le raconterait, mettant une emphase particulière sur le visage emplie de fierté d’Alon, elle qui devait se rappeler de l’immondice qu’elle avait ramassé sur un trottoir entre les seringues et les tessons.

A ses seize ans, elle et Ophelia ouvrirent une boutique, ce qui avait commencé comme étant une petite échoppe, prit en ampleur, suffisamment pour devenir une petite référence de sortilèges à des prix abordables, particulièrement pour les femmes, et leurs tracas du quotidien.

C’est à cette période aussi qu’elle fut transformée. Un soir, dans une ruelle étroite, alors qu’elle avait fermé la boutique plus tard, elle sentit une présence. Une ombre. La créature, tapie dans le brouillard du port, ne lui laissa aucune chance, elle se rua sur elle, les crocs en premier. Impuissante, elle ne parvint à survivre que par charité, Harvey continuait de mettre des coups de dents et de langue à son assaillant, accompagné de Mimoune, mais si le vampire l’avait décidé autrement, elle n’aurait pas été là pour en parler. Elle ne se rappelle de rien, si ce n’est de son œil, jaune, et perçant, de la couleur que les siens prirent à la suite de cet évènement. Encore une fois, son coven lui apporta un soutien indéfectible, ainsi, elle put apprendre à limiter sa soif, entre les dons généreux du Sabbat en fiole de sang à des intervalles réguliers, et les payements en liquide de ses clients.
Les années passèrent, et elle fut chagrinée, de plus en plus troublée par la fragilité que la Matriarche Suprême affichée. Et elle se radicalisa. Comme Ilia, elle suivit une pensée naissante, considérant que Lorn mettait en danger le Sabbat, qu’il empêchait les Sœurs et les Mères de pouvoir vivre librement, alors qu’elle lui était tout bonnement supérieures, en tout point.

Et même si elle l’aimait. Presque autant qu’elle aimait sa Mère, presque autant qu’elle aimait ses sœurs, Ilia et Ophelia, elle ne pouvait s’empêcher d’avoir une pointe d’amertume, une pique de ressentiment lorsqu’elle pensait à l’inaction de  Lamenia.

Mais son amour pour le Coven était plus grand encore, le Sabbat primait sur le reste, et sa sécurité, ça restait Lamenia qui l’assurait. Avec l’intervention, et le soutien de sa tendre mère adoptive, ainsi que ses efforts continuels, Eileen entra, bien après la prodigieuse Ilia, au rang de Destinée. A seulement dix-neuf ans, non contente d’avoir une boutique remplie de réussite avec Ophelia, elle était en voie de devenir une grande de ce monde.

Mais elle ne souhaitait pas la lumière. Lorsqu’elle devint une Destinée sa mère lui offrit un violon. Pour répondre à sa nature, et à ses talents en occulte musical.

Elle avait choisi son destin.

Elle s’était spécialisée dans de nombreuses branches, souvent moins agressives et brillantes, mais parce qu’elle ne suivait pas le simple objectif d’être la plus grande. Elle voulait que ses sœurs ne meurent pas. Le reste n’importait que peu en vérité.

Ilia deviendrait reine de l’assemblée un jour, Ophelia assurerait la pérennité du Sabbat, et elle ?
Elle les adorerait.

Elles étaient les filles de celles qui n’avaient pas brûler.

Et l’odeur de poudre sur leurs doigts les rendaient dangereuses. Le Gouverneur avait assez longtemps bafoué leurs codes.

Il tomberait pour son arrogance.







A propos de toi


Pseudo : Eileen !

Avatar + artiste : Witch / Jingyu Wen

Comment as-tu connu le forum ? : Top Site

Quelque chose à dire ? : La petite Sorcière !


Eileen Wicked
Eileen Wicked

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Rôle / Emploi : Co-tenancière / Destinée du Sabbat
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Message  Orith Sam 11 Fév - 14:08

Bienvenue ! Je t'ai déjà dis sur Discord ce que je pensais de ta fiche mais je réitère : Un délice à lire cette fiche d'une pauvre craspouille malheureuse, qui, par hasard ou par la providence, a croisée une dame qui sauvera son existence. Le Sabbat a su la recueillir, lui offrir un toit. Eileen est une destinée pleine d'avenir, il ne lui restera qu'à survivre aux nombreux périls devant sa route pour achever son apprentissage !

Courage cette future membre du Vivacia !

À la fiche, voici tes points de bonus : 350 punto pour l'une des plus importantes figure du Sabbat.
Orith
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