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Otton, Main Noire de l'Empire [Fini]

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Otton, Main Noire de l'Empire [Fini] Empty Otton, Main Noire de l'Empire [Fini]

Message  Otton Steiner Sam 18 Mar - 14:09



STEINER OTTON


Race : Humain

Sexe : Masculin

Âge : 28 ans

Taille : 1m74

Rôle ou personnage prédéfini : Membre de la Confrérie de la Rose

Alignement : Loyal Neutre


Faction/Ville : Arkheynos

Métier : Lui-même se qualifie de " Main Noire ", car le nom de son métier n'a rien d'officiel. Il peut aussi bien être assassin qu'espion pour le compte de la Confrérie de la Rose.

Aptitudes souhaitées : Rôdeur II (biome de prédilection : environnement urbain et égouts), Psyker I, Culte de l'Empereur I

Artéfact, gadget ou animal demandé :
Artefact de niveau 1 : Un kriss d'une lame de 25cm qui est lié à Otton. Otton peut ressentir sa présence et le localiser s'il le perd. Il peut également l'attirer vers lui dans un rayon de dix mètres et si aucun obstacle ne se dresse entre lui et le Kriss.
Artefact de niveau 2 : Des bottes légères, qui permettent de produire une onde de choc. Dans les faits, Otton peut s'en servir pour faire des bonds avoisinant les 5 mètres, ce qui est pratique pour la grimpette. En combat, les coups de pieds produisent des ondes de choc capables de repousser en arrière violemment un adversaire. Plus ce dernier est léger, plus ce dernier sera repoussé au loin.



Description physique


De taille moyenne et de constitution frêle, Otton est un jeune homme difficile à remarquer, et qui pourrait être aisément la cible des railleries les plus piquantes. Ses bras et ses jambes pourraient être comparées à des brindilles ! Cependant, cette morphologie de garçonnet cache belet bien une condition physique à toute épreuve. Certes, le jeune assassin ne pourrait concourir à un tournoi de bras de fer, mais si vous le défiiez à la course, au saut, à l’endurance, et autres disciplines athlétiques, le voici qui pourrait bel et bien terminer en haut du podium !

Son visage encore juvénile peut parfois prêter à confusion : s’agit-il d’un homme ou d’une femme ? Un défaut chez certains, mais qui peut s’avérer d’un grand secours pour Otton. Maîtriser l’art du déguisement est un grand atout pour tout espion qui se respecte. Il n’est donc pas impossible pour lui de se grimer en une trotteuse de lupanar, ou un jeune échanson à la cour d’un quelconque seigneur. Une merveilleuse tignasse noire, volumineuse et sauvage auréole le sommet de son crâne. Des traits fins caractérisent son faciès enfantin, mais c’est surtout ses yeux d’un bleu incandescent qu’on remarque dans l’immédiat.

En matière vestimentaire, le membre de la Confrérie de la Rose s’habille en fonction de la mission qu’on lui a donné. La Confrérie lui donne accès à tout un ensemble de panoplies lui servant à opérer dans n’importe quelle ville. Qu’il s’agisse de rôles féminins ou masculins à endosser, bien entendu. Mais d’ordinaire, Otton est drapé dans un ensemble intégralement noir, et d’une longue cape qui lui sert à protéger ses vêtements en cas d’intempérie.



Caractère


De par sa nature d’assassin, Otton est un homme qui en a bavé durant toute sa vie. C’est quelqu’un d’endurci, de rigoureux, et d’extrêmement patient. Toujours professionnel dans ses agissements, c’est un serviteur dévoué d’Arkheynos, et un adorateur zélé de l’Empereur-Dieu. Il exécute toujours ses missions sans faillir, sans remise en question, sans demande de justification. C’est un exécuteur, car c’est ainsi qu’il a été éduqué au sein de la Confrérie.

C’est un habile comédien, qui aurait pu jouer dans une troupe de théâtre, et qui se glisse dans la peau de véritables personnages pour se fondre dans la foule lorsqu’il infiltre une cité. Il est fasciné par toutes les formes d’arts, en particulier la peinture.

Dévot patenté, Otton est un véritable homme de foi, qui fait ses prières dès qu’il le peut, qui tourne ses pensées presque quotidiennement en direction du ciel, où il chérit dans son coeur l’Empereur-Dieu. Il lui arrive de rosser le premier venu qui blasphémerait devant lui. Son fanatisme est la pierre angulaire de sa force mentale, c’est elle qui lui permet d’accomplir toutes les horreurs dont il a commande.

Néanmoins, la « Main Noire », n’est pas pour autant un bourreau sans coeur et froid. Il peut être généreux avec son prochain, cultive un certain recul sur ses propres actes, qu’il prend parfois à la rigolade (ce qui est d’un très mauvais goût). Il se plaît aussi grandement dans l’exercice de la séduction, auprès de la gente féminine dont il fréquente les établissements entre deux missions afin de s’aérer l’esprit et de relaxer toute son anatomie. .



Histoire


Les registres de la Guilde Sombre restent plutôt flous quant au recrutement de ses plus jeunes recrues. Car pour espérer lever la meilleure des armées de l’ombre, son créateur, Aghnar Castaca, avait déjà compris qu’il lui fallait un vivier composé d’enfants en bas âge, à l’esprit encore vierge et malléable, prêt à servir fanatiquement une cause qu’eux-même ne comprenaient pas.

Si nous nous consultons ces fameuses archives, extrêmement secrètes, et que nous nous penchons sur la recrue Otton Steiner, nous récoltons très peu d’informations. Ce que nous savons, c’est que le bambin a rejoint les rangs de l’organisation à l’âge de quatre ans, sans mention d’une quelconque provenance. S’agissait-il d’un des nombreux orphelins résultant des conquêtes incessantes de l’Empire ? Ou bien d’un de ces très nombreux gamins des rues, laissés à l’abandon ? Personne ne le saura jamais. Mais le jeune Otton fut très vite jeté entre les griffes des terribles précepteurs de la Guilde. Beaucoup d’entre eux étaient d’anciens maîtres-espions, mercenaires, bandits, pirates, ou ex-bagnards d’Arkheynos.
Pour ses premières années, jusqu’à l’âge de ses treize ans, Otton fut placé sous la tutelle d’un professeur des plus impitoyables qui fût : Elric Dagon. Dagon avait été un chef de détrousseurs de grand chemin durant des années. Ayant joué avec les autorités sans se faire prendre pendant près de dix-neuf ans, il avait été finalement arrêté et supplicié, avant d’être condamné à la mort. Il n’avait pas hésité lorsque les premiers pontes de la Guilde lui avaient proposé de les rejoindre en échange d’une amnistie. Placé à la tête d’une promotion de cinquante morveux, il savait qu’une écrasante majorité ne survivrait pas à la rigoureuse (pour ne pas dire inhumaine) formation qu’il leur réservait. Il avait pour obligation de former des guerriers de l’ombre d’élite, et c’est ce qui ferait, quoi qu’il lui en coûtât.

Otton Steiner passa les six années suivantes à l’étude de la religion, de l’Histoire et de toute la géopolitique du monde, emmagasinant des connaissances considérables. Ceux qui peinaient à enregistrer ces colossales leçons, finissaient à croupir pendant des jours dans des cachots, non sans subir le courroux des coups de fouets, afin de les endurcir. Dagon mettait un point d’honneur à malmener les corps vulnérables de ses apprentis, les soumettant à des exercices physiques insurmontables, ou en les frappant à l’aide de sa canne qu’il portait partout avec lui.

A ses dix ans, seule la moitié des recrues du détrousseur avait survécu au mode de vie spartiate qu’on leur avait imposé. Certains n’avaient pas résisté aux hivers passés dans les dortoirs glaciaux des baraquements de la Guilde, d’autres avaient tout bonnement disparu sans laisser de trace. Les novices venaient de commencer la deuxième phase du très difficile apprentissage. Comme ses camarades, Otton se retrouva à plusieurs reprises laissé pour quelques semaines en pleine nature. Ces « stages » leur permettaient de mettre en pratique les années d’études passées auparavant. Après l’intellect, c’était le mental et le physique qu’il fallait forger.
Ce fut au cours d’un de ces séjours, qu’Otton connut une épiphanie. Traqué par un loup sauvage une nuit de tempête, et acculé contre les racines d’une falaise, il avait cru ses derniers jours venir. Il avait prié avant que la bête ne le déchiquetât tout entier, et le miracle se produisit : l’animal fut foudroyé sur place. Pour Otton ce n’était pas le hasard. L’Empereur-Dieu l’avait choisi. Lorsque ces longues semaines en pleine nature étaient terminés, Dagon entraînait en personne les potentiels futurs membres au combat.

Otton souffla ses treize bougies. Et seuls onze malheureux gamins étaient parvenus à survivre aux trois années infernales de leur instructeur. Et les quatre prochaines allaient se révéler être encore plus difficiles. C’était le moment de l’avant-dernière étape de leur terrible éducation selon Elric Dagon. Celle qu’il nommait « le Pâturage ». Une conception issue de son génie tortueux. Jusqu’à leur dix-sept ans, les apprentis étaient laissés en pleine nature, à vagabonder dans le monde. La seule consigne était la suivante : revenir avant le jour de leurs dix-sept ans. Ils pouvaient néanmoins mener leur vie comme ils l’entendaient. Seulement, au terme des deux premiers mois de vagabondage, la Guilde se lancerait à leur poursuite, pour les tuer. En clair, ces adolescents qui partaient en Pâturage, devaient non seulement trouver un moyen de subsistance par eux-même, mais aussi une manière de vivre caché, invisible, pour échapper aux yeux scrutateurs et funestes de leur propre organisation.
Otton prit le chemin de la cité de Milagre, cité bénie par l’Empereur-Dieu lui-même, et ville pieuse. Sous la protection de son dieu, il y trouverait la sécurité. Après avoir été mendiant pendant deux semaines au sein de la cité, le coup du sort lui fit une nouvelle faveur : il mit à mort un des nombreux vagabonds qui erraient autour d’une des nombreuses églises de Milagre. Le pauvre vieillard avait tenté de suriner un prêtre innocent. Pour le remercier, le prêtre le prit sous sa protection, et lui trouva un poste à la Librairie Noire. Ce prêtre, qui répondait au nom de Père Hekthor, lui enseigna quelques rudiments de magie sacrée. Il était en mesure de soulager les douleurs, et de deviner lorsque quelqu’un lui mentait, de temps à autres, quand il se concentrait. C’était un don qu’il mit à contribution pour survivre, puisqu’il lui permit de repérer au cours de ces trois années de Pâturage, pas moins de deux assassins qui étaient venu en repérage à la Librairie Noire pour lui mettre la main dessus. Otton avait frappé le premier dès sa sortie dans les faubourg, quant au second, il lui avait offert une soupe. Empoisonnée, bien entendu.

Ses dix-sept ans arrivés, Otton prit congé du Père Hekthor et de Milagre, retrouvant les quartiers lugubres des apprentis de la Guilde Sombre. Dagon ne prit la peine de féliciter les huit heureux lauréats du Pâturage. Car après tout, il restait une dernière chose à faire avant d’apprendre le métier. Le temps de la « Chasse » avait maintenant sonné. Les huit bougres avaient exactement une années pour ramener trois têtes à la Guilde. Et pas n’importe lesquelles. Celles de novices partis en Pâturage cette année. Otton venait de comprendre d’où venaient ces fameux assassins de la Guilde qui avaient essayé de le tuer à Milagre. Ils étaient issus d’autres promotions de Dagon. Cette fois, la mission était de remonter la piste des fugitifs et de les assassiner de la manière la plus intelligente. Car leurs cibles avaient été à bonne école.
Otton n’eut pas de mal à mettre la main sur deux de ses cibles. La dernière plus futée, se révéla être habile dans sa couverture, mais aussi teigneuse au combat. C’était une jeune fille rousse, svelte, athlétique, et qui avait du répondant. Ce fut au terme d’un combat dantesque dans les cuisines d’une demeure aristocratique de Bastion Limaille, que la traquée rendit son dernier souffle après un duel au couteau de cuisine avec le jeune Steiner. Blessé et repéré juste après son œuvre, Otton fut pourchassé sans relâche pendant trois jours dans toute la ville. Il put néanmoins repartir avec son précieux sésame : la tête de la mignonne rouquine sous le bras.

Dix-huit ans. Six rescapés. Dagon congédia ses jeunes pousses, leur priant de « ne pas crever trop vite quand même », avant de les confier entre les mains plus académiques des maîtres-assassins, magiciens et maîtres d’armes de la Guilde. Quatre années supplémentaires de dur labeur à se parfaire au combat, à la magie, à la méthodologie du meurtre, à l’observation, à l’infiltration, à l’art de la dissimulation, du déguisement, du mensonge, de la résistance à la douleur, de l’interrogatoire, de la torture, de la persuasion … Toutes les dernières clés dont n’avaient pas encore ces tueurs en herbe. Et une fois cette ultime ligne droite accomplie, Otton Steiner devint officiellement un membre de la Guilde Sombre.

Une Guilde Sombre qui ne tarda pas à s’effondrer sur elle-même. Ses ressources s’amenuisaient, et les clients se faisaient de plus en plus rares. Il fallait admettre qu’un concurrent de taille écrasait tout sur son passage : la Confrérie de la Rose. L’année suivante, la Guilde Sombre fut dissoute, et il fut proposé à ses membres de rejoindre la Confrérie. Cette organisation, bien plus vaste, organisée et fanatique, était considérée comme une secte plutôt qu’un syndicat du crime. Une fois encore, Otton interpréta cette opportunité comme étant un signe divin.

Seulement quatorze ex-agents de la Guilde Sombre choisirent de poursuivre le voie sanglante, au sein de la Confrérie de la Rose. On épargna à ces nouveaux arrivants le parcours initiatique classique de la Confrérie, car il s’agissait là déjà de professionnels. Mais il leur restait beaucoup à apprendre, et on ils furent envoyés dans un des cinq temples du Manoir.

Otton entra dans le Temple de la Tromperie, où il perfectionna son art du déguisement, de la dissimulation, et du mensonge. D’ordinaire réservé à la gente féminine, on estima que les talents de travestissement d’Otton étaient si uniques, qu’on lui réserva une place particulière. Otton fit partie des trois assassins survivants de sa promotion, et put devenir un assassin de la Confrérie, enfin.

C’est au cours de ses missions qu’il obtint ses fameuses bottes et son cher kriss, instrument de mort qui avait donné tant de trépas à tant d’inconnus. Et ce fut au cours de ses nombreuses années de service qu’il s surnomma lui-même « la Main Noire ».






A propos de toi


Pseudo : Radj

Avatar + artiste : Paul Atréides de Dune

Comment as-tu connu le forum ? : Topsite

Quelque chose à dire ? : Je suis fan du Lore du forum. Merci de ne pas avoir mis 150 000 races incohérentes dans un univers fantasy générique au possible. Et merci pour l'arbre de talent à la Skyrim.




Dernière édition par Otton Steiner le Dim 19 Mar - 20:25, édité 1 fois
Otton Steiner
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Message  Otton Steiner Sam 18 Mar - 22:14

Petit up pour avertir que j'ai terminé.
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Message  Orith Lun 20 Mar - 0:06

Eh bien à ton tour mon cher Otton, quel plaisir de voir un ami de la Confrérie, plus important que plaisir de voir un enfant que l'Empereur a guidé à travers les épreuves de sa vie, et l'Empereur sait la dureté des dites épreuves ! Mais maintenant l'ami te voilà entre de bonnes mains, celle de Malenia, le poignard aveugle du divin et j'ai hâte de voir quelles entreprises tu vas mettre en déroute !

Tu es donc validé avec 375 po supplémentaires ! Fais toi plaisir avec tous ces PO ! Et que l'Empereur te garde !
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