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Aliénor Parker [Terminée]

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Aliénor Parker [Terminée] Empty Aliénor Parker [Terminée]

Message  Aliénor Parker Mar 4 Avr - 9:22



ALIÉNOR PARKER


Race : Vampire - Humain

Sexe : F

Âge : 25 ans

Taille : 1,70m

Rôle ou personnage prédéfini : non

Alignement : chaotique neutre


Faction/Ville : Boréas – Cirdan – Gouffre

Métier : Diseuse de bonne aventure – Charlatan

Aptitudes souhaitées : Psyker – Oniromancie - Dissimulation

Artéfact, gadget ou animal demandé :Une araignée aux poils noirs et aux multiples yeux rouges prénommée Mil’godass



Description physique




L’oeil noir taquiné par une mèche de la même couleur, grasse, sale, avise mornement la pancarte couverte de breloques métalliques pompeusement installée au-dessus des trois marches de vieux bois et de la porte de même essence. Dans sa main ? Une pièce argentée qu’il serre très fort de ses doigts calleux.

Cela en vaut-il réellement la peine ? Est-ce vrai ? Elle a parlé à Hengist l’autre soir, elle lui a confirmé des choses, des secrets honteux à propos de sa femme et le lendemain le bougre avait été libéré comme par miracle de la présence de sa moitié à la jambe légère. Elle se donnait, la gueuse, elle se donnait à n’importe qui pour de la bouffe, même parfois pour rien, tout le monde le savait sauf lui. L’idiot... Il a dit qu’elle lui a donné des conseils, qu’il est sorti de là apaisé, déterminé. Et pouf ! le lendemain, disparue comme par enchantement, la Berta. Tant de questions en cet esprit tourmenté par la faim, la misère et la crasse…Voir la bohémienne a permis à Hengist de se sentir mieux. Berta, c’était un boulet de graisse à une chaîne d’emmerdes…puis ça aurait été très con qu’elle lui balance leur petit arrangement de derrière les fagots, du coup il est soulagé aussi, Rallan. Il en soupire presque de soulagement en replaçant sa mèche noire derrière son oreille.

Cette bohémienne, il a déjà entendu son nom sans pour autant s’y intéresser. Pour lui, les lumières, la bicoque qui se donne des airs de mystiques, les couleurs, tout ça c’est juste de la frime, du tape-à-l’œil. Il faut voir les choses de près pour se faire un avis - son avis - et ça tombe bien, il a lui aussi des questions. Plein.

Il fourre son poing fermé dans la poche de son pantalon et libère la petite pièce qu’il tapote discrètement avant de grimper les trois marches.

Rallan n’a pas le temps de heurter la porte. Elle s’ouvre sans le moindre grincement dévoilant une lueur ocre et une odeur de suie un peu rance. La silhouette qui s’appuie dans l’encadrement est petite, les traits ne sont pas tout à fait visibles dans le clair-obscur mais les tissus, brillants, le sont. De fort jolis tissus pour ce qu’il peut en juger, lui qui n’y connait pourtant rien en mode féminine si ce n’est en dessous et autres frivolités charmantes.

- C’est une pièce la consultation, dit la voix rauque et féminine de la bohémienne en tendant une main aux doigts fins, gracieux. Rallan aura le temps de voir un anneau de métal argenté surmonté d’un symbole étrange à son annulaire avant de fouiller sa poche, surpris, presque intimidé comme un gamin pris la main dans la sac de bonbons interdits.
- Vous saviez que j’étais là ?, dit-il en déposant la pièce sur la paume qui se referme illico et qui plonge ensuite dans un décolleté généreux, cachant la paye du soir.
- Oui. Par un moyen fantastique qu’on appelle « fenêtre », dit-elle en lui montrant les carreaux colorés à moitié dissimulés par un lourd rideaux de tissu épais. La petite silhouette s’écarte de l’encadrement de la porte et laisse le passage libre à son client du soir. – C’est au fond, y a deux chaises, t’en prends une, je prends l’autre, dit encore la voix rauque en fermant puis en verrouillant la porte.

Rallan, tout à son observation de cet endroit qu’il visite pour la première fois, est déçu. Il s’attendait à quelque chose à la hauteur de la devanture mais l’intérieur…on dirait presque son repaire à lui. Du vieux bois, des tissus rapiécés, un assemblage de bric et de broc qui donnent l’apparence d’un logis autrefois stable, malmené par une tempête puis replacé là en l’état. Une moue désappointée apparaît enfin, en apercevant les toiles d’araignée ici et là. Et en plus, elle sait même pas faire un peu de ménage…

-Alors, c’est pour quoi ? Ta chérie te trompe et tu veux savoir avec qui ? Tu veux devenir riche ? Tu veux savoir si quelqu’un veut te buter ?

Un regard vers la droite et il la voit de dos, occupée à rincer ses mains dans une eau à la propreté relative stagnant dans une cuvette cabossée. A la lueur des bougies de suif, elle est jolie. Du moins de dos, elle l’est. Il observe attentivement la chevelure noire comme la plus profonde des ombres, ondulant comme une myriade de vagues sur son dos, jusqu’à ses reins, il détaille la finesse de son cou, l’angle harmonieux de deux épaules judicieusement agrémentées de dentelles blanches à la propreté particulièrement étranges compte tenu de l’ambiance crasseuse. Un coup d’œil séduit sur la chute de ses reins, rehaussée par une ceinture ornée de breloques brillantes…Petite mais très bien faite, cette bohémienne. Charmante…, ajoute-t-il en pensée avant qu’elle ne se retourne, percevant le regard sans toutefois rien en dire.

Les hommes. Tous les mêmes. Surtout ici, se dit-elle en allant prendre place sur une des chaises du fond, déployant la jupe de cette robe surprenante, fendue jusqu’à mi-cuisse. Prenant place sur la chaise qui lui fait face, Rallan observe cette chair pâle, ronde et ferme, parfaitement visible grâce à cette jupe fendue…Le regard descend un peu, parvenant au pied, petit, mignon…nu. Elle ne porte aucune chaussure, aucun chausson…Et pourtant son pied est propre…Le regard remonte ensuite, curieux, explorant le corps à peine dissimulé qui est assis là, face à lui, parvenant au corsage  constitué d’un patchwork de tissus de toutes les couleurs et de toutes les matières possibles. Une superposition de colliers, des babioles sans valeur, ornent une poitrine au galbe magnifique, à la peau satinée.

La gorge de Rallan se serre tout autant que l’espace en ses pantalons se réduit.

Son visage…Des lèvres rouges entrouvertes dévoilant des dents blanches, un visage décidé et au teint radieux, et ces yeux ! des yeux de la couleur du ciel, des yeux d’un bleu irréel, présentement posés sur lui tandis qu’il finit sa lente – et silencieuse – inspection. Un sourire énigmatique vient illuminer cette beauté. Le cœur de Rallan accélère. Le sourire s’étire davantage.

-Ton nom ?, demande la bohémienne de cette voix rauque, sensuelle qui est la sienne.
-R…Rallan. Rallan Kouri, dit-il en maudissant sa faiblesse et en se redressant pour tenter d’avoir une meilleure allure. Et toi ?, demande-t-il par automatisme, alors qu’il sait très bien comme elle s’appelle.
-Appelle-moi Aliénor, répond-t-elle alors avant de tendre la main vers le mur d’en abaisser une planche qui vient se positionner entre eux en un claquement sec.



Caractère



- Alors c’est vrai ce qu’on raconte ?, demande Rallan alors qu’Aliénor dispose des choses sur la planche, concentrée.
-Et que raconte-t-on, dis moi ?, ajoute la bohémienne en plaçant un tas de carte jaunies et poisseuses devant son client. – Je suis curieuse.

Rallan sourit en coin, tentant l’approche du charme, le sourcil ténébreux froncé, le regard langoureux posé sur la jeune femme qui attend, qui l’écoute et qui ne cesse de l’observer. Qu’ils sont ennuyeux, ces mâles. Une paire de miches un peu visibles et les voilà prêts à lui manger dans la main. Pas un seul petit éclat d’intelligence dans ce regard de rat mort posé sur ses seins, pas une seule petite originalité, un petit quelque chose qui pourrait égayer la soirée, non rien. C’est vraiment trop demander au Gouffre, un homme qui serait autre chose qu’un éventuel repas ou un client inquiet pour de misérables considérations dont elle s’est irrémédiablement éloignée depuis longtemps ? Et depuis un long moment, elle les observe, elle les voit se déchirer, elle les entend se dire des horreurs, elle assiste, de loin, à des choses atroces, sans pour autant lever le petit doigt si ce n’est vers celui qui paye mieux que les autres. Non, il n’y a plus aucune lumière chez les Humains, trop occupés à tirer chacun la couverture vers soi pour s’en sortir et à se serrer autour des gamelles pour ne pas avoir à répondre à ceux qui ont faim. Chacun pour sa gueule. Triste mais logique.

Rallan dit quelque chose, elle n’écoute que d’une oreille distraite, ennuyée à mourir - à nouveau.

-…et il a dit que tu étais douée !

Merde. Elle n’a pas écouté. Il faut donner le change.

-Je sais, je suis fabuleuse. Choisis une carte, dit-elle en se penchant assez pour lui donner une vue plus complète de son anatomie.

Le silence revient, il déglutit bruyamment, il regarde, sans gêne, sans plus aucune retenue et sa main se dirige enfin vers une carte qu’il lui tend et qu’elle retourne.
Bingo. Ce sera facile ce soir. Il est envouté…comme les autres.

-Choisis deux autres cartes, ordonne-t-elle de cette voix sensuelle qui est la sienne.

Il s’exécute aussitôt, en silence, et lui tend les cartes qu’elle retourne devant elle. Et c’est là son moment préféré.

La tactique est simple. En partant du postulat que les hommes de ce lieu sont incapables de se retenir devant une femme un peu plus jolie que les michetonnes dégoutantes qui hantent le Gouffre, il lui a suffi de lui en montrer juste assez pour qu’il la boucle de stupéfaction. Pourtant, bien avant qu’il n’entre, Aliénor avait déjà fait une analyse rapide de Rallan. Un type moyen, moyennement bâti, moyennement crasseux comme tout le monde, avec des espoirs et des rêves, comme les autres. Et son nom ne lui est pas inconnu. Hengist lui a confié ses soupçons à propos de son ami, de sa potentielle liaison avec sa femme Berta. Il ne lui a pas fallu longtemps pour faire le lien entre ces trois êtres miséreux, au fond du trou. Pour survivre ici, avoir des yeux et surtout des oreilles fines c’est la base…

Un sourire lui revient à l’évocation mentale de cette femme…Un corps moelleux, une gorge tendre, un arrière gout de graisse et de métal, plus prononcé que ses proies ordinaires…De quoi mettre son corps en transe, pendant quelques minutes…Quel souvenir que le bruit mou de cette carcasse vide rebondissant le long des parois pour disparaître au fond d’une abyssale crevasse…Extase exquise. C’était presque drôle. Presque.

-Alors ? Vous voyez quoi ? demande Rallan en tendant le cou pour mieux voir, comme si un miracle allait apparaître devant lui.
-Plusieurs choses. Tu vois cette carte ?, dit-elle en lui montrant un poignard assez mal dessiné qui peut signifier à peu près tout et n’importe quoi. Quelqu’un t’en veut. Et veut ta peau. Et c’est quelqu’un de proche. T’as de la famille ?

Un hochement négatif de la tête lui répond. Un petit sourire égaye la bohémienne.

-Des amis ?

Un silence. Aliénor repose la carte sur la planche puis s’empare de la seconde pour la lui montrer.

-Des fleurs séchées. Il y a une femme.

Rallan passe son index entre son col et la peau de sa gorge piquée de quelques poils de barbes mal rasés.

-Et enfin ceci…, murmure-t-elle en lui montrant la troisième carte représentant un miroir, est ta destinée. Alors, Rallan…Voilà comment je vois les choses. Les cartes ne mentent pas. Tu es en danger. Et à cause d’une femme tu risque de traverser le miroir pour ne plus en revenir, tu me suis ?

Les chandelles de suif vacillent un peu sur la droite, comme si un très léger courant d’air venait de les agiter. Rallan, déjà mal à l’aise, semble pris d’une panique. Une lueur étrange vient de luire dans le regard d’Aliénor. L’odeur de la peur, le rythme cardiaque qui s’accélère, cette odeur qu’ils dégagent tous…irrésistible suée âcre qui pique le nez.

-Je dois faire quoi, alors ? dit-il enfin après de longues secondes de réflexion trouble.

Sans rien répondre, Aliénor plonge alors la main dans une bourse remplie de petits os et les jette sur la planche, observant faussement le résultat. Cela impressionne toujours les coupables et plus ils ont de choses à se reprocher, plus il y croient. Ça marche à chaque fois.

-Il faut te débarrasser de la source de tes problèmes avant qu’elle ne te trouve…et…c’est pour bientôt, ajoute-t-elle d’un air mystérieux avant de se redresser et de le regarder droit dans les yeux.

Quelques instants plus tard, la silhouette fuyante d’un Rallan déconfit s’enfuit de la roulotte-maison, tandis que la bohémienne se tient sur le pas de sa porte, les bras croisés sur son ventre tout en suivant du regard cet homme qui vient de s’en aller. Elle a mangé récemment, ce serait vile gourmandise que de manger encore mais il sentait tellement bon la peur, celui-là…Un petit glissement le long de sa chevelure la fait sourire avant de porter la main sur une mèche qui semble se mouvoir seule, mue par…huit pattes velues.

-Merci pour les chandelles, Mil’godass, souffle-t-elle à l’araignée qui se love sur son épaule. Satisfaite, Aliénor ferme sa porte. Elle a conforté sa réputation à peu de frais et elle ne doute pas que très bientôt les ruelles sordides du Gouffre vont encore bruisser d’un drame. Deux amis dans une lutte à mort. Pour une femme qui ne respire même plus. Rigolo.




Histoire



La porte fermée, seule dans sa roulotte-maison, la bohémienne tire le rideau qui sépare les chaises de consultation de son espace privé…qui n’est pas bien grand. Elle se jette sur son lit puis plonge la main dans son décolleté pour en extirper la pièce d’argent. A la lueur des vieilles bougies vacillantes, elle fait rouler son dû entre ses longs doigts avant de la lancer d’un seul geste du pouce. Mil’godass rampe jusqu’à elle et l’entraîne dans un coin, sous le regard amusé de la vampire qui s’étire de tout son long.

Oui, c’est pas bien grand, ni beau, pas toujours propre ici, mais c’est chez elle. Et elle n’échangerait ce taudis où elle règne sans partage contre aucune des jolies demeures de la cité volante. La liberté de gérer son existence sans plus personne pour lui dicter sa conduite…La liberté de se rendre où elle veut, quand elle veut, n’a pas de prix. De sa vie passée, elle n’a gardé que cet anneau qui luit à son annulaire, un anneau de métal surmonté d’un symbole qu’il lui arrive, dans les moments d’ennuis, de caresser du bout du doigt en songeant à ce passé qu’elle a fui.

Les Terres, ce petit village de l’île, ses parents agriculteurs…Et elle, toujours en quête d’aventure, rechignant au travail des champs, toujours à guetter la bonne occasion pour en faire le moins possible, toujours à fouiner, à fureter, à écouter et à observer. Cela lui a couté cher. Très cher.

Il était beau, cet homme rencontré le long des chemins, alors qu’elle rentrait chez elle après avoir passé la journée à paresser dans les hautes herbes. Beau et charismatique, la mine sombre, l’air mystérieux, le sourire carnassier, beau parleur…Il lui a dit qu’elle était belle, qu’elle pourrait être la plus belle de toutes, si elle le voulait. Elle a souri parce qu’elle savait que c’était vrai.

Une longue conversation.
La magie du moment, une chaude nuit d’été.
Un regard de braise, l’éclat immaculé d’un sourire ravageur.
Le souvenir de ses propres ongles s’enfonçant de douleur dans le sol alors que la lune se levait enfin.
L’étrange goût de fer et de sel, puis cette souffrance, celle de l’inconnu, celle de la Faim. La solitude.

Elle regarde le plafond, toujours en caressant cet anneau, pris au doigt de sa mère, sa mère au sol, égorgée. A ses côtés, son père. Lui aussi égorgé. Et elle au milieu de la pièce, les jupes en sang, les lèvres tâchées de carmin, occupée à regarder, hébétée, le résultat d’une Faim que rien n’a pu contrôler. Cette nuit-là, elle a senti la puissance qui est la sienne. La pression de ses crocs sur la peau tendre. Le gout du sang de ses parents…L’absolue solitude d’un être maudit. Elle n’avait plus de famille. Plus rien.

Après avoir fait proprement disparaître les corps, elle a ramassé quelques vêtements et s’en est allée pour se cacher dans le Gouffre. Se faire oublier. Oublier. Devenir une autre.

Aliénor n’est pas son vrai prénom. Parker n’est pas davantage son nom de famille. Ce sont ceux qu’elle s’est choisi, ceux qui lui ont permis de vivre dans le Gouffre de manière discrète.

Jamais elle n’a revu son créateur, le seul désormais à connaître sa véritable identité.
Jamais elle n’a compris pourquoi il a fait cela, pourquoi il lui a imposé cette vie au lieu de simplement la tuer.

Un sourire barre son beau visage immaculé alors qu’elle se redresse, et qu’elle se drape d’une longue cape de laine sombre pour sortir et disparaître dans les ruelles de la cité.

Tout cela est loin derrière désormais, elle ne le reverra sans doute jamais, elle n’a d’ailleurs jamais croisé un seul autre vampire depuis cette nuit-là. Désormais elle survit dans le Gouffre, elle furète toujours autant, toujours sur une bonne affaire, toujours à choisir le plus offrant, toujours dans son propre intérêt.






A propos de toi


Pseudo : Aliénor – Siltiama - BritBrit

Avatar + artiste : IA via Lexica

Comment as-tu connu le forum ? : DC

Quelque chose à dire ? : Oui. :3 J’aime écrire et apporter un maximum à mon/mes partenaires de jeu. Je m’investis beaucoup dans mes textes, mes réponses et parfois cela me prend du temps (IRL chargé). Si vous désirez jouer avec ce perso, tout ce que je demande, c’est un minimum de communication en retour: si vous êtes débordé, si vous vous ennuyez (ça arrive), si ça ne vous plaît plus (ça arrive aussi), peu importe la raison qui vous pousse à cesser de jouer en ma compagnie, soyez honnête et dites-le, je préfère ça au silence. <3 Pour le reste, je suis ouverte à tous les liens possibles susceptibles de faire évoluer nos persos, et je suis très souvent disponible sur Discord. A bientôt ! v-v


Aliénor Parker
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Aliénor Parker [Terminée] Empty Re: Aliénor Parker [Terminée]

Message  Orith Mar 4 Avr - 13:40

En voilà une digne habitante du Gouffre !

Entre son passé obscur marqué par la tragédie de sa condition et son attitude quotidienne, on sent qu'Aliénor en a lourd sur la conscience. Bien éloignée des petites considérations des uns et des autres, ses soucis sont plus grands et ailleurs, bien loin des petites querelles de ce trou à rat qu'est le Gouffre.

Son expérience et sa ruse lui permettent d'y vivre plus confortablement que la moyenne, plus sereinement aussi. On l'invite à se méfier des vampires du "dessus". Ceux pour qui l'ordre passe avant tout si elle s'avérait laisser trop de trace de ses repas ou d'une potentielle dissidence.

En plus de tes 700 po de validation, je t'accorde 75 po de plus ce qui te permet de prendre tes trois pouvoirs en niveau 1. Attention sur l'utilisation de ta petite araignée (dont j'adore le nom XD), elle ne peut être que narrative et ne t'apportera aucun bonus (pas de communication ou d'action pouvant favoriser ton perso).

Il ne te reste plus qu'à remplir les champs de ton profil et à te lancer avec ta jolie vampire !
Orith
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