Les hommes ont régné. Un empire vieux d’un millénaire plus grand, plus puissant, plus illustre qu’aucun autre avant eux. Ils ont eu un goût de la suprématie. Et ils la désirent la récupérer plus que jamais.Ce petit groupe tribale, clanique, qui a grossi, pareil à une tumeur, pour devenir l’immense Saint Empire d’Arkheynos qui règne au Nord du Continent. Si des aspects mineurs de sa philosophie ont changé à travers les âges, une chose demeure : Il faut régner. Il faut vaincre. Et si on doit mourir : Il faut le faire de façon glorieuse.Et leur manque d’éthique, de considération pour la vie de leurs congénères, et la loyauté aveugle, presque fanatique en l’Empereur et en la nation, leur a permis de persister dans le temps. De continuer à vaincre une guerre, après l’autre. Le pouvoir appartient à ceux capables de tout sacrifier pour l’obtenir.

Bonus à la création de personnage : 200 PO bonus en occulte, dans de l'école de son choix, ainsi que 200 pts bonus en physique, dans l'école de son choix

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Les elfes, plus qu'aucune autre race, connaît la faiblesse des hommes, et l'hybris démente qui les possède. Le Royaume de Luhorn n'est pas racialiste par esthétisme : il l'est par nécessité. Trop longtemps, les guerres claniques et les jeux de pouvoir ont rongé le continent, parfois jusqu'à sa presque périclitation. Pour eux, le pouvoir n'est pas une affaire d'opportunité, ni d'ambitions, mais d'excellence. Excellence dont seuls les elfes sont dépositaires. Fondé il y a plusieurs siècles de ça, Luhorn est un royaume expansionniste à la réputation terrifiante, dont le principal atout repose sur la sorcellerie. Les magistères de l'Empire sont, en effet, d'authentiques pourvoyeurs de destruction, capables, à eux seuls, de mettre des armées en déroute. Ils sont dirigés d'une main de maître par le Roi et la Reine, régnant sur la capitale, du haut de leur palais volant.

Bonus à la création de personnage : un N2 dans une école de magie arcanique secondaire de son choix (équivalent 500 PO). Ou bien, deux N1 dans des écoles de magie arcanique secondaires de son choix.

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Née des ruines des royaumes humains d’Iphénia touchée et brisée par les affres de la corruption sous le feu des Calamités, la théocratie d’Iphénia est avant tout le fruit d’une utopie, celle de la paix entre les elfes et les hommes dans le but de travailler en commun avec les forces de chacun dans l’intérêt du monde. Etat religieux, Iphénia à l’inverse du royaume a ainsi fait le choix de faire primer la Foi sur tous les principes raciaux, ce qui n’empêche pas toutefois de nombreuses inégalités d’exister notamment sur les hauts postes religieux où seul un humain dans l’histoire a pu atteindre aujourd’hui le rang de Cardinal. Elle en reste toutefois bien plus modérée que ces voisines permettant à tous les humains compétents et alignés sur les principes du dogme de vivre des vies confortables notamment à Olios.

Nation religieuse, elle est un pilier de la culture continentale n’hésitant pas à valoriser les arts saints chez elle comme dans les pays sur lesquelles sa foi lui donne de l’influence.
Nation maritime et productive, elle est également un nœud commercial majeur, guidé en cela par la ville d’Olios, un des plus grands ports du continent.

Mais derrière la lumière et la bonté se cache toujours de l’ombre et du secret. Dans le dos de tous règne comme un état dans l’état l’inquisition exterminant sans procès ni hésitation tout ce qui ne corresponds pas à leur vision de l’équilibre. Corrompue… Vampires… Lycan… Nécromancien… Démonologue, ces derniers passant bien souvent les frontières car la Foi plus qu’une affaire de nation est celle du monde…

Derrière les sourires, elles aussi une nation de secret où se cache tant sur les affaires de la corruption que des affaires d’Etat, bien des choses que la théocratie voudrait effacer.. quitte à le faire physiquement vis-à-vis de ceux qui savent.

Derrière la morale, se cache bien des organisations criminelles et des sectes qui puissantes sont loin d’être combattu avec verves par les autorités.

Bonus à la création de personnage : 500 PO bonus en magie de ferveur dans l'école secondaire de son choix

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Cité construite sur plusieurs niveaux, elle réussit l'exploit d’être localisé sur la mer, les récifs et le littoral montagnard de l’île. L'origine d'Havresac remonte à plusieurs siècles. Autrefois simple refuge des pirates, elle a grandi en taille au fil des années pour se transformer en véritable bastion marin des bannis et des proscrits.

Les constructions d'Havresac sont architecturalement inégales, dues aux profondes différences sociales régissant la vie politique de la ville. Toutefois, loin d'être des quartiers communautaire, les riches battisses côtoie des fabrications de fortune, parfois même uniquement faite de bois, utilisant souvent la colonne vertébrale d'un navire échoué pour structurer l'habitation. Toutefois, certains lieux importants

Vothan Lorn est le gouverneur d'Havresac, chargé de s'assurer de son bon fonctionnement ainsi que d'instaurer un calme suffisant pour le bon déroulement des transactions marchandes. Il est celui qui veille au grain, Vothan ne saurait tolérer quoi que ce soit qui perturberai le nerf de la guerre, le pognon, la maille, le blé, etc. La vie au sein de la cité n'est pas évidente, et seul les plus robustes parviennent a subsister. Il n'existe pas vraiment de code moral régissant les comportements, la notion de moralité institutionnelle étant totalement absente, c'est malheureusement la loi du plus fort ou/et du plus perfide qui prédomine sans partages.
Cependant, cette ambiance délaitaire est accompagnée de son lot opportunité. Havresac regorge d'histoire d'homme et de femme ayant réussi a se hisser au sommet en étant parti du bas, le reve Havresac. L'avantage de vivre parmi des contrebandiers, pirates, mercenaires, assassins, etc réside en partie dans la profusion de bien et de services en tout genre proposés. N'importe quel collectionneur pourra y faire affaire, tout comme la mariée congédiée cherchant veangance, ou bien l'érudit assoiffée de connaissances occultes.

Havresac est la cité de toutes les opportunités comme de tout les dangers.

Bonus à la création de personnage : chaque personnage de Havresac obtient, à la fin d'une Quête d'exploration, une récompense supplémentaire. Il peut s'agir d'un bien pécunier, de pièces d'or ou d'un objet supplémentaire, généralement supérieur à la récompense de base

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Implantée au sein de l'archipel de Boréas, la cité volante de Cirdan a été créée de toutes pièces il y a un peu plus d'un siècle. La ville a été bâtie par des enfants de Luhorn. Abattus par l'assassinat de leurs aînés, ils quittèrent le continent avec l'aide d'Iphenia et l'accord du gouverneur d'Havresac pour bâtir leur nouveau foyer, un havre de paix pour les victimes de la guerre. La toute jeune cité s'employa à développer la technomagie, persuadée qu'elle serait la voix pour soulager les maux de ceux qui fuyaient les conflits, peut être même de les faire cesser. Disparate, Cirdan souffre de sévères inégalités sociales entre la Haute et la Basse Ville où les tensions sont bien réelles car sous l'égide de la cité volante, le Gouffre grouille de ces miséreux qui ne purent trouver une place dans les hauteurs. Dans le ciel, la volonté de paix, la rigueur et l'élégance sont de mises derrière les boucliers et les remparts mais au sol, là où certains yeux se lèvent vers ce qui semble être un paradis inviolable dans ces temps sombres, d'autres brûlent de jalousie, les pieds dans la fange.

Concernant le conflit qui oppose les deux grands empires, la cité se fait discrète et diplomatique, se servant de prétextes culturels et commerciaux pour tenter d'influencer les deux grandes factions vers la paix. Le refuge qu'était Cirdan déborde et la cité est prête, désormais, à beaucoup d'extrêmes pour rétablir l'équilibre d'une ère sans conflit, mettant toute sa technologie au profit de cette cause prioritaire.

Bonus à la création de personnage : 50% de réduction de coût dans la boutique pour des objets TECHNOMAGIE

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Rez-de-chaussée au dessus d'une cité minière, Ineth'Uru est une place ou bourgeoisie et révolution industrielle se mélangent allègrement. Les manoirs luxueux côtoient les usines aux cheminées bavant une épaisse fumée noire. Les réceptions mondaines vont bon train tandis que des ouvriers se tuent à la tache. Les dames, dans leurs superbes robes ayant coûté une année de salaire d'un prolo, empruntent le métro tout en se contant les derniers ragots, sans jamais croiser l'ouvrier épuisé rentrant chez lui après une interminable journée de dur labeur. Le superbe côtoyant le crasseux.

La vie de la cité est dictée par l'affrontement économique et territorial de trois familles possédant la main mise sur la globalité du commerce intra et extra-muros. Rien n'échappe à leurs regards infatigables, guettant la moindre opportunité commerciale, avides de s'accaparer une plus grande part du gâteau.

La vie du citoyen moyen est supportable, si l'on oublie la quasi-impossibilité d'apercevoir les cieux constamment masqués par les épais nuages noirs produits par les usines, l'air pas toujours respirable et les denrées alimentaires précieuses. Un ouvrier aura une vie relativement correcte s'il s'acquitte de ses tâches, et pourra adopter une existence classique dans le monde d'Orith. L'ascenseur social est proche de l'immobile, seuls de rares élus parviennent à rejoindre les grands pontes de l'industrialisation.
A contrario, demeurer dans les classes aisées, c'est l'assurance d'une existence d'opulence et de confort, où l'on est uniquement préoccupés par les réceptions mondaines, les représentations artistiques récentes, et l'annuel salon des inventions. La vie bourgeoise est enviée par tous ceux qui n'y appartiennent pas. Capables de s'offrir le dernier cri de la technologie provenant d'Ineth'Uru par caprice ou recherche de confort, les bourgeois ont accès à "un air pur", "une eau pure" et "une alimentation pure" en provenance de contrées éloignées, pêchés mignons des fortunés, partagés par la haute.

Tous ici demeurent pourtant méfiants, sachant que leurs destins peuvent prendre une tout autre tournure si jamais ils venaient à devoir être logés un étage plus bas. Les séismes de faible magnitude provoqués par le volcan incarne cette épée de Damoclès au-dessus des épaules de chaque citoyens...



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